Ainsi soit je... (song) | EPFL Graph Search

"Ainsi soit je..." (English: "So Be I...") is a 1988 song recorded by the French artist Mylène Farmer. The song was released as a single twice: as the second single from her second studio album Ainsi soit je... on 4 April 1988, and as the second single in a live version from her second live album Live à Bercy on 20 August 1997. Both versions achieved a relative success on the charts, failing twice to reach the top ten in France. After the huge success of "Sans contrefaçon", Boutonnat and Farmer decided to release as a new single the title track "Ainsi soit je...", just one month before the album release. It was the first ballad of the singer. The cover of the single, which was created by Farmer's friend, Elsa Trillat, is almost identical to the album's one, but without the puppet which featured in the video "Sans contrefaçon". The single was released under the traditional formats (vinyls) but also CD maxi and, for the first time, a CD video. The single was also released in Japan, but about two years after the Francophone countries. As for all her songs since "Tristana", Farmer wrote the lyrics. However, the first words of the couplets "bulle de chagrin, boule d'incertitude" were written in the 1970s by Marie, a singer who had died not long before and unknown to the general public. In this way, Farmer paid tribute to her. According to manager Bertrand Le Page, the song was also inspired by a song entitled "Avant que le monde explose, je veux mourir", which passed unnoticed and which contained in its chorus the words "Ainsi soit-il, ainsi soit-elle". The song's title refers to the formula which ends Christian prayers ('Amen' i. e. 'Ainsi soit-il' or 'So be it' in English), but here it is spelled 'Ainsi soit je...', instead of 'Ainsi sois-je', showing that the 'Je' (or 'I' in English) is personified. French journalist Benoît Cachin stated that in this song, Farmer "reveals her loneliness, her pain of living and her great lucidity", and deals with the theme of existentialism, which was also present in "À quoi je sers.

Reconversion de l'ensemble de la “Markuskirche”

Les églises sont de moins en moins fréquentées. Les traditions et valeurs ont changé avec l'évolution sociale et la messe ou le culte ne font souvent plus partie des activités hebdomadaires de la population suisse. Vendre, louer, rénover ou encore transformer: une multitude de solutions sont proposées pour éviter la démolition. Les enjeux sociaux et politiques sont souvent au cœur des débats sur ce patrimoine religieux, mais le point de vue architectural, qui est un aspect fondamental dans la reconversion de ces édifices, est trop souvent oublié. Le projet de reconversion de l'ensemble de la “Markuskirche”, dans le quartier Nord de la ville de Berne, propose une nouvelle utilisation de l'église et de sa maison de paroisse, qui forment une “cité paroissiale” typique des constructions ecclésiastiques protestantes des années 1950. Un programme de logements pour étudiants qui met en avant la vie communautaire, ainsi qu'un foyer public viennent dynamiser le quartier, tout en gardant une approche respectueuse du patrimoine religieux existant.

2017

Données de la recherche : quèsaco ?

Jan Brice Krause, Aude Dieudé

Cet article définit les données de la recherche et analyse leurs enjeux pour les chercheurs ainsi que leurs implications pour les bibliothèques. L’importance de la gestion des données de la recherche grandit avec le fort accroissement de la quantité d'informations au sein des hautes écoles, ainsi qu’avec le développement de nouvelles méthodes d’analyse numérique. Les chercheurs et les bibliothécaires sont les premiers concernés par les diverses questions que soulève la gestion de ces données, vis-à-vis notamment des exigences des bailleurs de fond ainsi que des éditeurs.

2015

La vie avec la mort. Un complexe funéraire – parc urbain au Prieuré de Saint-Jean à Genève

La civilisation moderne s'est attachée à détruire les rites de nos ancêtres, à les disséquer avec les outils du scientifique pour les discréditer un à un. Ce rejet a engendré une perte de repères, ainsi qu'un déni de mort chez l'individu. Les sans-confession n'ont ainsi pas de rite commun et se retrouvent démunis face à la mort. La délocalisation des cimetières hors la ville n'a fait que renforcer cet état en éloignant la mort de la vie quotidienne. Avec sa majorité de sans-confession et ses 80% de crémations, Genève est particulièrement marquée par ces changements. Le projet vise à réintroduire la notion de mort au sein de cette ville, tout en s'adaptant aux nouveaux besoins funéraires. Cela en offrant un espace cérémoniel et de crémation neutre, intimement lié à un espace d'activités et de vie. La promenade du Prieuré de Saint-Jean est particulièrement propice à recevoir ce programme, puisqu'elle est le lien entre un système parfaitement maîtrisé, la ville, et un espace sauvage, les falaises de Saint-Jean. Il s'agit d'une zone de transition entre deux mondes, en bordure de fleuve et au cœur de la ville, où l'érosion et la conservation se mêlent. Un espace de vie par excellence où, au moindre rayon de soleil, baigneurs, promeneurs, joggeurs, enfants et flâneurs se côtoient sur les ruines d'un ancien site mortuaire.

2013