Concept

Les Voltigeurs de Québec

Les Voltigeurs de Québec est le nom d'un régiment d'infanterie de la Première réserve des Forces armées canadiennes (FAC). Ayant été fondé en 1862 en tant que The Battalion Volunteer Militia Rifles, Canada (or "Voltigeurs of Québec"), littéralement « Le Bataillon de fusiliers de la milice volontaire, Canada (ou "Voltigeurs de Québec") », il s'agit du plus ancien régiment canadien-français. Ce bataillon devint un régiment en 1900 en adoptant le nom de Regiment "Voltigeurs de Québec", littéralement le « Régiment "Voltigeurs de Québec" ». En 1954, celui-ci fusionna avec Le Régiment de Québec. De plus, de 1965 à 1966, il était fusionné avec The Royal Rifles of Canada. Il fait partie du Groupe-brigade du Canada de la Division du Canada au sein de l'Armée canadienne. Les membres du régiment sont des soldats s'entraînant à temps partiel afin de servir dans des opérations domestiques ou outremers des FAC. Les Voltigeurs de Québec perpétuent l'histoire de plusieurs unités : le Bataillon de la Milice d'élite incorporée, le Corps provincial d'infanterie légère (Voltigeurs canadiens), le et le Bataillon de la Ville de Québec (1812-1815), la Division de Beauport (1812-1815) ainsi que le 57th "Overseas" Battalion, CEF, littéralement le « "Outremers" Bataillon, CEF ». vignette|gauche|upright=0.75|alt=Rectangle bleu|Insigne distinctif de la Division du Canada Les Voltigeurs de Québec sont un régiment d'infanterie du Groupe-brigade du Canada, un groupe-brigade de la Première réserve de l'Armée canadienne qui fait partie de la Division du Canada. Il est stationné dans le manège militaire de Québec à Québec au Québec, Tout comme c'est le cas pour les autres unités de la Première réserve de l'Armée canadienne, le rôle des Voltigeurs de Québec est de former des soldats afin de servir de renfort lors des opérations des Forces armées canadiennes ainsi que d'être prêt pour le service actif afin d'appuyer les autorités civiles lors de catastrophes naturelles dans la région locale.

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Publications associées (2)

Reconversion de l'ensemble de la “Markuskirche”

Les églises sont de moins en moins fréquentées. Les traditions et valeurs ont changé avec l'évolution sociale et la messe ou le culte ne font souvent plus partie des activités hebdomadaires de la population suisse. Vendre, louer, rénover ou encore transformer: une multitude de solutions sont proposées pour éviter la démolition. Les enjeux sociaux et politiques sont souvent au cœur des débats sur ce patrimoine religieux, mais le point de vue architectural, qui est un aspect fondamental dans la reconversion de ces édifices, est trop souvent oublié. Le projet de reconversion de l'ensemble de la “Markuskirche”, dans le quartier Nord de la ville de Berne, propose une nouvelle utilisation de l'église et de sa maison de paroisse, qui forment une “cité paroissiale” typique des constructions ecclésiastiques protestantes des années 1950. Un programme de logements pour étudiants qui met en avant la vie communautaire, ainsi qu'un foyer public viennent dynamiser le quartier, tout en gardant une approche respectueuse du patrimoine religieux existant.
2017

Un écoquartier pour le plus grand nombre

Jean-Denys Vesco, Youcef Mezzour

Le Maroc a connu au XXe siècle un exode rural massif de la population des villes de l'intérieur du pays vers la côte atlantique, sur l'axe Casablanca-Kenitra devenu le cœur économique du pays. Les nouveaux arrivants se logent dans des bidonvilles situés à la périphérie des centres historiques européens. Le service de l'urbanisme développe alors une stratégie de résorption des bidonvilles basée sur la création de cités satellites. Issue des principes du “zoning”, Rabat, capitale administrative, a connu un développement linéaire formé de strates parallèles au rivage. La première, au bord de l'Atlantique, est le réceptacle d'un territoire d'expérimentations urbanistiques où se concentrent ses quartiers populaires. Ces derniers, bordés par la ville industrielle, accueillent le réservoir de main d'œuvre nécessaire à son fonctionnement. Enfin, après la voie ferrée se développe la ville universitaire. L'objectif du projet est d'achever le processus de résorption des bidonvilles. Le relogement des deux bidonvilles restant est l'opportunité de créer un lien transversal entre les couches de la ville tout en connectant les infrastructures de transport nationales (gare routière) et urbaines (tramway). Depuis la passerelle piétonne, qui permet de franchir la voie ferrée séparant la ville universitaire de la gare routière, les logements projetés selon un plan à tiroir s'égrènent le long d'un parc qui offre une alternative de mobilité douce pour rejoindre facilement le bord de l'océan.
2013

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