Notre-Dame du Haut

Notre-Dame du Haut (Our Lady of the Heights; full name in Chapelle Notre-Dame du Haut) is a Roman Catholic chapel in Ronchamp, France. Built in 1955, it is one of the finest examples of the architecture of Franco-Swiss architect Le Corbusier. The chapel is a working religious building and is under the guardianship of the private foundation Association de l’Œuvre de Notre-Dame du Haut. It attracts 80,000 visitors each year. In 2016, it was inscribed on the UNESCO World Heritage List in along with sixteen other works by Le Corbusier, because of its importance to the development of modernist architecture. Notre-Dame du Haut is commonly thought of as a more extreme design of Le Corbusier's late style. Commissioned by the Association de l'Œuvre Notre-Dame du Haut, the chapel is a simple design with two entrances, a main altar, and three chapels beneath towers. Although the building is small, it is powerful and complex. The chapel is the latest of chapels at the site. The previous chapel was completely destroyed during World War II. The previous building was a 4th-century Christian chapel. At the time the new building was being constructed, Le Corbusier was not interested in Machine Age architecture; he felt that his style was more primitive and sculptural. He realized when he visited the site that he could not use mechanized means of construction, because access was too difficult. On January 17, 2014, the chapel became the target of a break-in. A concrete collection box was thrown outside, and one of the stained-glass windows, also designed by Le Corbusier and the only one on the chapel to carry his signature, was broken. The site is high on a hill near Belfort in eastern France. There had been a pilgrimage chapel on the site dedicated to the Virgin Mary, but it was destroyed during the Second World War. After the war, it was decided to rebuild on the same site, The new chapel was built for a reformist Church looking to continue its relevance.

Là-haut. Un centre de retraite scientifique à Isérables (VS)

Mathieu Maréchal

«Pendant ces vingt minutes de marche en direction du massif du Mont Fort, les vallons ont rythmé mon ascension. Le chemin m’a fait traverser vergers, terrassements, fermes d’alpage et m’a dévoilé d’un seul coup un hameau perché sur la crête d’une énième saillie de la montagne.» Auxine Heimat En développant le thème de l’ascension en tant qu’approche architecturale, le but est d’intégrer au site les sensibilités de l’utilisateur liées à son parcours. Le projet se rattache à un ensemble existant de raccards au lieu-dit Le Cotayer, en bordure du village d’Isérables. Là-haut, il a pour objectif de donner une qualité nouvelle à un site qui se trouve actuellement en marge de la vie quotidienne afin de le reconnecter à un imaginaire collectif. Ce projet se veut lieu de rencontre entre les mondes de la plaine et de la montagne; il vise à offrir un cadre de travail et d’hébergement singulier pour scientifiques. Dans ce contexte, la question de la confrontation entre l’ancien et le nouveau se trouve au cœur de l’approche architecturale et le projet prend le parti de l’analogie pour sublimer l’expérience historique. Entre le socle en béton et les volumes boisés, l’ensemble construit est découvert à travers un parcours qui met en valeur relations, dégagements et perspectives. Alors, les nouvelles constructions participent, en dialogue avec les raccards, à la démarcation d’une ligne continue entre le minéral et le bois; une mise en exergue de l’effort nécessaire aux constructions en pente.

2018

Là-haut. Un centre de retraite scientifique à Isérables (VS)

La thèse de Fiona Pià citée dans la revue de la FAI

Là-haut, autrement

Là-haut, autrement

Là-haut. Un centre de retraite scientifique à Isérables (VS)

La thèse de Fiona Pià citée dans la revue de la FAI