Concept

Post-orbital constriction

In physical anthropology, post-orbital constriction is the narrowing of the cranium (skull) just behind the eye sockets (the orbits, hence the name) found in most non-human primates and early hominins. This constriction is very noticeable in non-human primates, slightly less so in Australopithecines, even less in Homo erectus and completely disappears in modern Homo sapiens. Post-orbital constriction index in non-human primates and hominin range in category from increased constriction, intermediate, reduced constriction and disappearance. The post-orbital constriction index is defined by either a ratio of minimum frontal breadth (MFB), behind the supraorbital torus, divided by the maximum upper facial breadth (BFM), bifrontomalare temporale, or as the maximum width behind the orbit of the skull. Measurement of cranial capacity in hominis has been long used to examine the evolutionary development of increased brain size, allowing for comparing and contrasting among hominin skulls and between primates and hominins. Similarly, the post-orbital constriction index has become a form to compare and contrast craniums with the possibility of determining the relative age and evolutionary place of a new found hominin. Cranial capacity and post-orbital constriction index can demonstrate a correlation between increased brain size and reduced post-orbital constriction. For example, the average cranial capacity for Australopithecines is 440 cc, and the post-orbital constriction index is 0.66. However, with the evolutionary change in brain size in Australopithecines to the Homo genus, the average cranial capacity for Homo Habilis is 640 cc, and the post-orbital constriction index is 0.72. More specifically, in a departure from Homo erectus, Homo sapiens manifests a absolutely reduced post-orbital constriction (post-orbital constriction disappears) and a post-orbital constriction index of 0.92 due to increase in cranial capacity, about 1,350 cc.

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Hominidae
Les Hominidae, ou Hominidés, sont une famille de primates simiiformes rassemblant les genres actuels Pongo (orang-outan), Gorilla (gorille), Pan (chimpanzé) et Homo. S'y trouvent également un certain nombre de genres fossiles apparentés, ancêtres ou plus souvent collatéraux des ancêtres des quatre genres actuels. Cette famille admet pour groupe frère les Hylobatidés, d'autres singes sans queue, couramment appelés gibbons, comprenant quatre genres et une vingtaine d'espèces.
Homo erectus
Homo erectus est une espèce éteinte du genre Homo dont la définition est controversée. Ses fossiles les plus récents ont été trouvés sur le site de Ngandong, à Java, en Indonésie, où ils sont datés d'environ . Le périmètre morphologique, géographique, et temporel de cette espèce varie fortement selon les auteurs. Homo erectus signifie littéralement « homme dressé, droit » en latin : ce nom binominal d'espèce est un héritage historique lié à la description du fossile de Pithecanthropus erectus par Eugène Dubois en 1894.
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L’Homme de Pékin est le nom donné à un ensemble de fossiles de l’espèce Homo erectus, découverts à partir de 1921 sur le site de Zhoukoudian, près de Pékin, en Chine. Jusqu’en 1937, 183 fossiles humains ont été mis au jour par une équipe internationale, qui ont été perdus en 1941. À partir de 1949, la reprise progressive des fouilles par des chercheurs chinois a livré de nouveaux vestiges humains, mais en bien moindre quantité. Les couches stratigraphiques ayant livré des fossiles d'Homo erectus sont datées d'environ avant le présent.
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