History of Lisbon

The history of Lisbon, the capital city of Portugal, revolves around its strategic geographical position at the mouth of the Tagus, the longest river in the Iberian Peninsula. Its spacious and sheltered natural harbour made the city historically an important seaport for trade between the Mediterranean Sea and northern Europe. Lisbon has long enjoyed the commercial advantages of its proximity to southern and extreme western Europe, as well as to sub-Saharan Africa and the Americas, and today its waterfront is lined with miles of docks, wharfs, and drydock facilities that accommodate the largest oil tankers. During the Neolithic period, pre-Celtic peoples inhabited the region; remains of their stone monuments still exist today in the periphery of the city. Lisbon is one of the oldest cities in western Europe, with a history that stretches back to its original settlement by the indigenous Iberians, the Celts, and the eventual establishment of Phoenician and Greek trading posts (c. 800–600 BC), followed by successive occupations in the city of various peoples including the Carthaginians, Romans, Suebi, Visigoths, and Moors. Roman armies first entered the Iberian peninsula in 219 BC, and occupied the Lusitanian city of Olissipo (Lisbon) in 205 BC, after winning the Second Punic War against the Carthaginians. With the collapse of the Roman Empire, waves of Germanic tribes invaded the peninsula, and by 500 AD, the Visigothic Kingdom controlled most of Hispania. In 711, Muslims, who were mostly Berbers and Arabs from the Maghreb, invaded the Christian Iberian Peninsula, conquering Lisbon in 714. What is now Portugal first became part of the Emirate of Córdoba and then of its successor state, the Caliphate of Córdoba. Despite attempts to seize it by the Normans in 844 and by Alfonso VI in 1093, Lisbon remained a Muslim possession. In 1147, after a four-month siege, Christian crusaders under the command of Afonso I captured the city and Christian rule returned.

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Les petites maisons de la « Siedlung 14 Linden », construites dans les années trente à Weil-am-Rhein, possèdent une valeur historique et culturelle indéniable. Les habitants les ont bâties eux-mêmes à l’époque, sous le contrôle de l’État. Aujourd’hui, l’achat par la ville de l’une de ces maisons et la restitution de certaines de ses caractéristiques permettraient de garder un témoignage de cette initiative d’autoconstruction oubliée, mais aussi de l’intégrer au développement futur de l’important site au sud de la « Siedlung ». Ce dernier, cerné par la forêt, présente de nombreuses qualités. Il tend toutefois à être sous-évalué en raison de l’humidité de son sol, ainsi que de sa proximité avec la prison de Bâle et les voies ferrées. Le projet vise à réinterpréter la question de l’autoconstruction par l’expérimentation d’un mode alternatif de construction économique sur ce site, en continuité avec la « Siedlung » existante. Le chantier est facilité par la préfabrication des éléments de construction, nécessitant des moyens de levage et d’assemblage restreints. L’unité structurelle de base, conçue pour être répétée dans différentes configurations, offre une adaptabilité des logements aux évolutions sociales et aux modes de vie qui en découlent. Les types ainsi générés viennent s’implanter suivant l’hydrographie du sol et leur rationalité est contrebalancée par l’omniprésence d’espaces naturels productifs et d’éléments de médiation entre artefact et nature.

2021

Revitalisation d'un village alpin en friche, le cas de Mase, Val d'Hérens (VS)

Jean-Pascal Moret

L'abandon des activités agricoles de montagne et les évolutions liées au tourisme de masse ont profondément transformé le territoire des Alpes durant la seconde moitié du XXe siècle. L'impact de ces mutations sur les régions alpines a induit des développements divergents au sein des vallées. Les implantations humaines par plateau d'altitude, originellement connectées entre elles et interdépendantes, ont laissé place à des zones de croissances entourées de vastes espaces en friche. Afin d'offrir un nouveau souffle à ces villages en déclin, l'intervention propose de mettre en relation, par l'intermédiaire d'un élément paysager ayant perdu sa fonction d'irrigation initiale (un bisse), deux tissus illustrant ces caractéristiques différentes. Elle s'articule en deux parties et vient, à l'échelle du village, renforcer l'importance de ce cours d'eau comme colonne vertébrale des activités préexistantes et futures. En amont, un bâtiment public et sa place amorcent la liaison le long du bisse avec la zone des mayens. Dans la partie inférieure, l'implantation des bâtiments cherche à retrouver les particularités qui forment la qualité du tissu existant et l'intensité des relations humaines favorisée par la densité prévalant dans les villages de montagne. La forte économie du sol, la verticalité des volumes et la mixité d'affectation proposent, à l'instar de l'existant, des espaces interstitiels tenus par les masses bâties verticales générant une spatialité variée augmentée par les vues cadrées sur le paysage.

2013

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Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Revitalisation d'un village alpin en friche, le cas de Mase, Val d'Hérens (VS)

Revitalisation d'un village alpin en friche, le cas de Mase, Val d'Hérens (VS)

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein