L'Usine nouvelle | EPFL Graph Search

L'Usine nouvelle is a weekly French business magazine that covers business and technology. It is based in Antony, Hauts-de-Seine near Paris. This trade magazine appeared for the first time on 5 December 1891 in Charleville in the Ardennes department in northeastern France with the title l'Usine, subtitled "Organe de l'industrie des Ardennes et du Nord-Est" ("Organ of Industry of the Ardennes and the North-East"). It was published with the encouragement of a regional trade association, the Syndicat des industriels métallurgiques ardennais. And an editorial was specific: "L'Usine hopes to become the organ for everyone who has at heart the prosperity of the industries of the Ardennes and their expansion." It was a newspaper conceived entrepreneurs for entrepreneurs. It was an information tool to help them act and make decisions, and a communications tool and source of advertising for managers. At that time, the Ardennes and the northeast of France were considered a favoured area for industrial development. In 1905, it was bought by Camille Didier, who had become its publisher in 1901 at the age of 26 and who had opened an office in Paris. Camille Didier sought to turn l'Usine into a nationally distributed magazine. In 1914, the magazine had 3,000 subscribers. In response to the invasion of France by Germany during World War I, the newspaper moved its office to Paris and remained there. In 1935, the magazine printed 35,000 copies of each issues and its office was at 15 de la rue Bleue. At the outbreak of World War II, the magazine called on its readers to support the war effort. After Paris was occupied by German forces, the magazine continued to publish but limited itself to factual information such as commodity prices. At the time of the Liberation of Paris, its publisher (still Camille Didier) was accused of having collaborated with the enemy by continuing to publish during the German occupation. He was supported by his cousin Jeanne Carlot, a resistance figure in the Ardennes who had published an underground resistance newspaper named l'Ardenne.

Breadboard.Sauvegarde d’une halle industrielle

Benjamin Bonnard

Alors que la plupart des friches industrielles sont détruites ou détournées en centres de loisir tendances, la stratégie employée ici est de conserver une halle industrielle ainsi que ses programmes de production et de recherche. Le complexe de l’usine SAPAL de Renens est transformée en suivant trois axes de réflexion: l’optimisation fonctionnelle de la halle principale, l’ajout de programmes publics qui se branchent à celle-ci et l’invitation de nouveaux acteurs au sein du complexe. L’usine est ainsi revitalisée et retrouve un dialogue avec son contexte urbain. La conservation de cette halle de 8’000 m2 se justifie par son unique flexibilité et sa capacité à accueillir une multitude de petits fabricants ou de plus grandes entreprises. La construction d’une lame de bureaux qui dessert la halle dans toute sa longueur s’inspire de cette flexibilité, en interconnectant les espaces de production aux bureaux. En face de ces derniers, le long de la rue menant à la gare, une arcade marchande permet la promotion et la vente des produits directement fabriqués dans ce complexe. Aux deux bouts de cette machine, un musée de la création numérique dialogue avec le voisinage et l’usine: d’un côté, grâce à une nouvelle place publique à l'échelle du quartier et, de l’autre, avec l’ancien bâtiment de bureau réinvesti par le musée et transformé en une tour-symbole, à l'échelle des grands axes routiers qui lui font face.

2019

Nouvelles Technologies d'Efficacité Energétique et Développement de Grappes Eco-Industrielles dans l'Industrie Papetière : Etude de Faisabilité (E3PAP)

L'objectif de ce travail est de démontrer que l’intégration d’usines papetières dans des grappes éco-industrielles est techniquement faisable et économiquement rentable grâce à l’utilisation de cycles thermiques à absorption pour en accroître l’efficacité énergétique. Le projet consiste en une étude de cas en trois parties effectuées en parallèle, soit : - Une analyse énergétique poussée de l’usine partenaire afin d’en réduire la consommation de combustible fossile de façon radicale voire de l’éliminer totalement. - Une cueillette des données en ligne des communautés adjacentes aux usines papetières canadiennes pour déterminer l’utilisation éventuelle de la puissance électrique et de la chaleur excédentaire qui pourraient être produites par ces usines. - La conception optimale du point de vue rentabilité économique de technologies de conversion et de revalorisation de l’énergie.

2009