List of works by Antoine Bourdelle

The following is an incomplete list of artworks by the French artist Antoine Bourdelle. Antoine Bourdelle (31 October 1861 – 1 October 1929), born Émile Antoine Bordelles, was an influential and prolific French sculptor, painter, and teacher. His studio became the Musée Bourdelle, an art museum dedicated to his work, located at 18, rue Antoine Bourdelle, in the 15th arrondissement of Paris, France. In 1905, he mounted an exhibition of his work at the Galerie Hébrard in Paris, showing 38 sculptures, 18 paintings and 21 drawings. The sculptures included La Nonne from 1888 as well as the Head of Apollo and his Great Tragic Mask of Beethoven. Bourdelle's father died in 1906 and in 1909 he left Rodin's studio. The year 1910, saw his Héraklès tue les oiseaux du lac Stymphale of 1909 shown at the Salon and this was a huge success! A version of this work is held in the Musée d'Orsay. Whilst working as a sculptor he also taught at the Académie de la Grande Chaumière in Montparnasse, his pupils including Alberto Giacometti, Aristide Maillol, René Iché and Germaine Richier. 1910 also saw his divorce from Stéphanie Van Parys and in 1911 Rhodia Bourdelle was born to him and Cléopâtre Sévastos. In 1913 an exhibition of modern art in New York included his Héraklès and Tête d’Apollon, the commission for the monument to Genéral Alvéar in Argentina was formalized and he carried out the sculptures for the Théâtre des Champs-Elysées. He founded and was vice president of the Salon des Tuileries. Many works by Bourdelle can be seen in the Musée Bourdelle- Buste de Beethoven, Adam, Le bélier rétif, Centaure mourant, La Liberté and Vierge à l'enfant. From 1922 to 1923 he worked on La Vierge à l’offrande and completed the maquette for La France. He also completed La Naissance d’Aphrodite for the Marseille Opera House. In 1925 he exhibited at the Exposition internationale des Arts décoratifs showing Sappho, Le Livre and Masque de Bourdelle in the Pavillon du livre. 1926 finally saw his Alvéar monument inaugurated after 10 years of work and a version of La France was exhibited at the Salon des Tuileries.

À bras-le-corps ! Exposer les sciences au Collège de France

Jérôme Baudry

Du 25 avril au 12 juillet, la collection d’instruments scientifiques du Collège de France (Paris) est présentée pour la première fois au public à l’occasion de l’exposition « À bras-le-corps ! Savants et instruments au Collège de France au XIXe siècle ». Celle-ci met en lumière la recherche menée dans l'institution pour comprendre le fonctionnement du corps humain et animal, à l’intersection entre physiologie et physique. On y rencontre de grandes figures, comme le physiologiste Claude Bernard, l’analyste du mouvement Étienne-Jules Marey, le spécialiste d’électricité médicale Arsène d’Arsonval, mais aussi des personnalités moins connues, telles que la psychologue et physiologiste Józefa Joteyko qui, travaillant sur l’effort musculaire, devient la première femme à enseigner au Collège de France, ou la compositrice Marie Jaëll, qui étudie l’agilité des doigts des pianistes. Et, bien sûr, les fabricants d’instruments, qui jouent un rôle central dans toutes ces entreprises savantes. L’historien des sciences et des techniques Jérôme Baudry, l’un des commissaires aux côtés du physicien Jean Dalibard, présentera le propos et les pièces exposées, et reviendra sur le cheminement qui a permis de réaliser collectivement ce projet.

2024

Prolongement du Pont sur le Rhône à Aproz

Enea Sala

L'objectif du projet est l’analyse du pont existant en termes de durabilité et de sécurité structurelle et, si nécessaire, de proposer un renforcement pour compenser les défauts. En outre, dans le cadre de la correction du Rhône, qui, à proximité de la commune d'Aproz, implique une extension du pont d'environ 34.6 m. Deux variantes ont été dimensionnées, une en béton armé et une en BFUP armé, dans le but de trouver la solution optimale en termes de sécurité structurelle, de durabilité et de délais de construction.

2020

Les activités et les dépenses des frontaliers au Luxembourg.

Guillaume Simon Joseph Drevon

Longtemps, toute participation des frontaliers à l'économie et à la société luxembourgeoise autre que celle liée au travail a été négligée parce qu'il semblait entendu que les frontaliers, bien que travaillant au Luxembourg, n'y pratiquaient aucune autre activité. Comme le montre le chapitre 9, la réalité est plus contrastée. En effet, au cours de leur journée de travail, les frontaliers choisissent d'effectuer une partie non négligeable de leurs activités autres que professionnelles au Grand-Duché. Si certaines activités sont directement liées à leur travail, comme les sorties au restaurant pendant la pause de midi, d'autres, comme les loisirs ou les achats, relèvent en revanche d'arbitrages avec leur pays de résidence. Les comportements de dépenses des frontaliers ont d'ailleurs véritablement dépassé les frontières et se structurent autour d'un marché des biens et services qui intègre clairement le Luxembourg. Les dépenses, diversifiées et associées à des montants élevés, reflètent précisément une participation active des frontaliers à l'économie luxembourgeoise. Ces résultats amènent les auteurs de ces analyses à conclure que l'intégration des frontaliers au Luxembourg dépasse progressivement le seul cadre professionnel.

Peter Lang2014