French Air and Space Force | EPFL Graph Search

The French Air and Space Force (AAE) (Armée de l'air et de l'espace, Army of Air and Space) is the air and space force of the French Armed Forces. Formed in 1909 as the Service Aéronautique, a service arm of the French Army, it became an independent military branch in 1934 as the French Air Force. On 10 September 2020, it assumed its current name, the French Air and Space Force, to reflect an "evolution of its mission" into the area of outer space. The number of aircraft in service with the French Air and Space Force varies depending on the source; the Ministry of Armed Forces gives a figure of 658 aircraft in 2014. According to 2018 data, this figure includes 210 combat aircraft: 115 Dassault Mirage 2000 and 95 Dassault Rafale. the French Air and Space Force employs a total of 40,500 regular personnel, with a reserve element of 5,187 in 2014. The Chief of Staff of the French Air and Space Force (CEMAAE) is a direct subordinate of the Chief of the Defence Staff (CEMA), a high-ranking military officer who in turn answers to the civilian Minister of the Armed Forces. History of the Armée de l'Air (1909–1942) and History of the Armée de l'Air (colonial presence 1939–1962) The founding of the Service Aéronautique began in 1909, when the French War Minister approved the purchase of a Wright Biplane. The following year, another Wright biplane, a Bleriot, and two Farmans were added to the lone acquisition. On 22 October 1910, General Pierre Roques was appointed Inspector General of what was becoming referred to as the Cinquieme Arme, or Fifth Service. In March 1912, the French parliament enacted legislation to establish the air arm. It was projected to consist of three distinct branches based on aircraft missions—reconnaissance, bombing, or countering other aircraft. France was one of the first states to start building aircraft. At the beginning of World War I, France had a total of 148 planes (eight from French Naval Aviation (Aéronautique Navale)) and 15 airships.

Réinterprétation de l’autoconstruction de logements à Weil-am-Rhein

Les petites maisons de la « Siedlung 14 Linden », construites dans les années trente à Weil-am-Rhein, possèdent une valeur historique et culturelle indéniable. Les habitants les ont bâties eux-mêmes à l’époque, sous le contrôle de l’État. Aujourd’hui, l’achat par la ville de l’une de ces maisons et la restitution de certaines de ses caractéristiques permettraient de garder un témoignage de cette initiative d’autoconstruction oubliée, mais aussi de l’intégrer au développement futur de l’important site au sud de la « Siedlung ». Ce dernier, cerné par la forêt, présente de nombreuses qualités. Il tend toutefois à être sous-évalué en raison de l’humidité de son sol, ainsi que de sa proximité avec la prison de Bâle et les voies ferrées. Le projet vise à réinterpréter la question de l’autoconstruction par l’expérimentation d’un mode alternatif de construction économique sur ce site, en continuité avec la « Siedlung » existante. Le chantier est facilité par la préfabrication des éléments de construction, nécessitant des moyens de levage et d’assemblage restreints. L’unité structurelle de base, conçue pour être répétée dans différentes configurations, offre une adaptabilité des logements aux évolutions sociales et aux modes de vie qui en découlent. Les types ainsi générés viennent s’implanter suivant l’hydrographie du sol et leur rationalité est contrebalancée par l’omniprésence d’espaces naturels productifs et d’éléments de médiation entre artefact et nature.

2021

Électronique de commande pour un actionneur linéaire miniature

Raphaël Johannes Charles Mottet

Dans le cadre de la conception d'un dispositif portable, un actionneur linéaire miniature a été développé et réalisé. Cet actionneur est utilisé au sein d'un mécanisme d'échappement linéaire pour accomplir le rôle que tiendrait l'oscillateur dans un échappement horloger. L'utilisation de ce dispositif fonctionnant sur batterie nécessite une électronique de commande particulière. Pour ce projet, il est donc demandé à l'étudiant de concevoir, réaliser et tester une électronique remplissant les conditions données dans le cahier des charges. Le travail sera majoritairement porté sur le dimensionnement des éléments électroniques. Après l'étape de développement théorique, un circuit imprimé sera réalisé de manière à caractériser le comportement réel du circuit.

2015