Eugène Viollet-le-Duc

Eugène Emmanuel Viollet-le-Duc (øʒɛn vjɔlɛ lə dyk; 27 January 1814 - 17 September 1879) was a French architect and author, famous for his restoration of the most prominent medieval landmarks in France. His major restoration projects included Notre-Dame de Paris, the Basilica of Saint Denis, Mont Saint-Michel, Sainte-Chapelle, the medieval walls of the city of Carcassonne, and Roquetaillade castle in the Bordeaux region. His writings on decoration and on the relationship between form and function in architecture had a fundamental influence on a whole new generation of architects, including all the major Art Nouveau artists: Antoni Gaudí, Victor Horta, Hector Guimard, Henry Van de Velde, Henry Sauvage and the Ecole de Nancy, Paul Hankar, Otto Wagner, Eugene Grasset, Emile Gallé, Hendrik Petrus Berlage... He also influences the first modern architects, Frank Lloyd Wright, Mies van der Rohe, Auguste Perret, Louis Sullivan... and Le Corbusier, who considered Viollet-le-Duc as the father of modern architecture: "The roots of modern architecture are to be found in Viollet-le-Duc". His writings also influenced John Ruskin, William Morris and the Arts and Crafts mouvement. And at the 1862 international exhibition in London the esthetic works of Burne-Jones, Rossetti, Philip Webb, William Morris, Simeon Solomon et Edward Poynter are directly influenced from drawings in Viollet-le-Duc's Dictionnary. The English architect William Burgess admitted in his late life "We all cribbed on Viollet-le-Duc even though no one could read French." Viollet-le-Duc was born in Paris in 1814. His grandfather was an architect, and his father was a high-ranking civil servant, who in 1816 became the overseer of the royal residences of Louis XVIII. His uncle Étienne-Jean Delécluze was a painter, a former student of Jacques-Louis David, an art critic and hosted a literary salon, which was attended by Stendhal and Sainte-Beuve. His mother hosted her own salon, which women could attend as well as men.

Terre crue en milieu urbain: développement d'une architecture bioclimatique au Maroc

Carole Froidevaux

«Je choisirais [de vivre dans] un logement en terre sous condition que toutes les nécessités de ma vie actuelle soient disponibles.» [Propos extraits d'un dialogue à Casablanca. Dans le passé, la personne a vécu dans un logement en terre crue.] Le patrimoine architectural marocain présente de nombreux exemples d'architecture en terre crue, démontrant que celle-ci est bien adaptée au climat local exposé à de fortes chaleurs en été. Au-delà du côté “sentimental” des traditions, la terre crue n'est pas incompatible avec “confort moderne”. Bien qu'éclipsée par l'arrivée des matériaux industriels, la prise de conscience des enjeux environnementaux lui donne un nouvel intérêt dans l'optique de favoriser des cycles courts et des matériaux renouvelables. Alors que le Maroc vient de mettre en place un règlement thermique pour la construction visant l'efficacité énergétique, le projet propose un modèle de logement bioclimatique redonnant une place à la terre dans la conception du bâtiment. Il se situe à Marrakech et se concentre, à l'échelle d'un quartier, sur un nouveau modèle de “maison marocaine” pour la classe moyenne. Proche de l'architecture traditionnelle par sa forme urbaine à patio, il se différencie par sa matérialité. Les murs périphériques des logements sont en adobe créant une enveloppe massive et lisse protégeant des nuisances extérieures. Un revêtement métallique entrelacé recouvre les autres façades plus légères possédant les ouvertures orientées sur le patio. Il module à la fois la vue et la lumière estompant ainsi la limite entre l'espace intérieur et extérieur.

2017

Rhodanie urbaine - Journées Portes ouvertes de l'EPFL

Terre crue en milieu urbain: développement d'une architecture bioclimatique au Maroc

Terre crue en milieu urbain: développement d'une architecture bioclimatique au Maroc

Rhodanie urbaine - Journées Portes ouvertes de l'EPFL