Roberto CastelloRoberto Castello is a senior scientist and group leader at the EPFL Laboratory of Solar Energy and Building Physics. Physicist by training, he has extensive experience in collecting, classifying and interpreting large datasets using advanced data mining techniques and statistical methods. He received his MSc (2007) in Particle Physics and PhD (2010) in Physics and Astrophysics from the University of Torino. He worked as a postdoctoral researcher at the Belgian National Research Fund (2011-2014) and at the CERN Experimental Physics Department (2015-2017) as a research fellow and data scientist. He is primary author of more than 20 peer-reviewed publications and he presented at major international conferences in the high energy physics domain.
In 2018 he joined the Solar Energy and Building Physics Laboratory (LESO-PB) to work on data mining and Machine Learning techniques for the built environment and renewable energy. His main research interests are: spatio-temporal modeling of renewable energy potential, energy consumption forecasting techniques, anomaly detection, and computer vision techniques for automated classification in the built environment.
He leads the group of Urban Data Mining, Intelligence and Simulation at LESO-PB and he is a member of the NRP75 Big Data project (HyEnergy) of the Swiss National Science Foundation. He is a member of the Swiss Competence Centre for Energy Research (SCCER) and deputy leader of the working group on Leveraging Ubiquitous Energy Data. He has served as a scientific committee member, workshop organizer and speaker at international conferences (ICAE 2020, Applied Machine Learning Days 2019 and 2020, CISBAT 2019 and 2021 and SDS2020).
Since 2017 he is member of the Geneva 2030 Ecosystem network, promoting the United Nations agenda towards the realization of the Sustainable Development Goals (SDGs).
Laurent VillardOriginaire de Vauffelin (BE), Laurent Villard est né en 1961. Après avoir obtenu le diplôme d'ingénieur physicien de l'EPFL en 1983, il est assistant au CRPP où il entame une thèse. Ses études portent sur l'étude théorique du chauffage des plasmas par ondes radiofréquences, développant pour cela un code de calcul numérique sous contrat avec le Joint European Torus (JET, Angleterre). Il obtient en 1987 le doctorat ès sciences. En 1988, il est engagé en tant que chargé de cours à l'Université d'Addis Abeba, enseignant l'électromagnétisme et l'électrodynamique. En 1989 et 1990, il rejoint le Polytechnic Education Development Centre de l'Institute of Technology of Bandung (ITB, Indonésie). Ses activités contribuent à la formation et au soutien du personnel enseignant des dix-sept écoles polytechniques nouvellement créées en Indonésie. A la fin 1990, il revient au CRPP en tant que collaborateur scientifique. En 1993 il est nommé professeur assistant. En 1999, il est nommé maître d'enseignement et de recherche, puis, en 2005, professeur titulaire. En collaboration avec JET et General Atomics (USA) il étudie les instabilités qui peuvent être provoquées par les particules énergétiques issues du processus de fusion nucléaire. Avec des scientifiques du Keldysh Institute (Moscou), il s'intéresse au calcul de l'équilibre et de la stabilité de configurations du type tokamak. Enfin, en collaboration notamment avec le Max-Planck Institute fuer Plasma Physik, ses recherches portent sur la simulation numérique, par calcul à haute performance (HPC), de la turbulence dans les plasmas magnétisés.
Jean-Luc MarendazJean-Luc Marendaz est chimiste diplômé (MSc) de l'Université de Neuchâtel où il reçoit en 1992 le titre de Docteur ès science pour sa thèse en synthèse et analyse de cristaux liquides organométalliques (Pr Robert Deschenaux). Il accomplit ensuite un stage postdoctoral à l'Université de Pittsburgh (Pennsylvanie, USA) dans le domaine de la chimie supramoléculaire dans les laboratoires du Pr Andrew Hamilton. Début 1994, Jean-Luc Marendaz revient en Suisse et travaille dans le développement analytique de la Division des polymères de Ciba SA à Monthey. En octobre 1994, il débute à la Section de chimie de l'Université de Lausanne comme ingénieur de sécurité et adjoint du Président de cette section. Dans le cadre du projet triangulaire UNIL-EPFL-UNIGE, il a activement participé à la réunification de la chimie lausannoise et rejoint en octobre 2001, l'Ecole polytechnique fédérale de Lausanne. L'année suivante, il est nommé Adjoint du directeur de la nouvelle Section de chimie et de génie chimique. En 2005, il devient le premier Chef de la sécurité de la Faculté des sciences de base. En 2006, il créée le Service de sécurité et santé au travail de la Faculté des sciences de base où il office comme Chef adjoint auprès du Dr Thierry Meyer. Durant près de 17 ans, Jean-Luc Marendaz combine son activité entre le développement de la sécurité et santé au travail dans le monde académique et l'organisation des études universitaires en chimie puis en chimie et génie chimique tout en étant Chargé de cours dans ces deux disciplines. En automne 2011, ne pouvant plus mener de front cette triple activité, il renonce à son activité d'ingénieur de sécurité au Service de sécurité et santé au travail de la Faculté des sciences de base pour se recentrer auprès de la Section de chimie et de génie chimique. Jean-Luc Marendaz reste consultant en sécurité et santé au travail et continue d'y enseigner.
Berend SmitBerend Smit received an MSc in Chemical Engineering in 1987 and an MSc in Physics both from the Technical University in Delft (the Netherlands). He received in 1990 cum laude PhD in Chemistry from Utrecht University (the Netherlands). He was a (senior) Research Physicists at Shell Research from 1988-1997, Professor of Computational Chemistry at the University of Amsterdam (the Netherlands) 1997-2007.
In 2004 Berend Smit was elected Director of the European Center of Atomic and Molecular Computations (CECAM) Lyon France. Since 2007 he is Professor of Chemical Engineering and Chemistry at U.C. Berkeley and Faculty Chemist at Materials Sciences Division, Lawrence Berkeley National Laboratory. Since 2014 he has been director of the Energy Center at EPFL.
Gervais ChapuisCliquer ici pour une biographie plus complète
Etudes à l'Ecole Polytechnique Fédérale de Zurich (ETHZ) en Suisse. Après son diplôme de cristallographe obtenu en 1966, il prépare sa thèse dans la même institution sous la direction du Prof. A. Niggli qui a été défendue en 1972. Il a poursuivi durant trois ans ses travaux de recherche au Lawrence Berkeley Laboratory en Californie dans le laboratoire du Prof. D. H. Templeton, spécialiste bien connu dans la champ de la diffraction résonante. De retour en Suisse, il rejoint l'Institut de cristallographie nouvellement créé à l'Université de Lausanne sous la direction du Prof. D. Schwarzenbach. En 1991, il est nommé professeur ordinaire puis en 1999, directeur de l'Institut de cristallographie. En 2003, son unité est transférée à l'Ecole Polytechnique Fédérale à Lausanne où il est nommé professeur ordinaire.
G. Chapuis a présidé de nombreux comités et sociétés internationaux dans le domaine de la cristallographie. En particulier, il a présidé le comité des structures apériodiques de l'Union Internationale de cristallographie (IUCr). Il est également membre de la commission de l'enseignement de cette même organisation. Il a également présidé la société suisse de cristallographie.
G. Chapuis est co-éditeur du Journal Acta Crystallographica et participe dans de nombreux comités de lectures pour différentes revues scientifiques consacrées à la cristallographie et à la physique du solide.
Ses domaines de recherche couvrent plus spécifiquement l'étude théorique et expérimentale des structures apériodiques et en particulier les structures incommensurables par diffraction et dynamique moléculaire. Il est l'auteur de plus de trois cents articles scientifiques publiés dans des revues internationales avec arbitrage. De plus G. Chapuis se consacre au développement interactif de l'enseignement de la cristallographie avec les nouvelles technologies de communication accessibles sur Internet.