Andrew Charles OatesAfter an undergraduate degree in Biochemistry at the University of Adelaide with Honours in Robert Saint’s lab, Andrew Oates received his Ph.D. at the Ludwig Institute for Cancer Research and the University of Melbourne in the lab of Andrew Wilks. His postdoctoral time was at Princeton University and the University of Chicago in the lab of Robert Ho, where his studies on the segmentation clock in zebrafish began in 1998. In 2003 he moved to Germany and started his group at the Max Planck Institute for Molecular Cell Biology and Genetics in Dresden. In 2012 he accepted a position at University College London as Professor of vertebrate developmental genetics and moved his group to the MRC-National Institute for Medical Research at Mill Hill in London. From April 2015, he became a member of the Francis Crick Institute in London. In September 2016, he joined École polytechnique fédéral de Lausanne (EPFL) in Switzerland as a Professor, where he is the head of the Timing, Oscillation, Patterns Laboratory. From April 2018 he served as Director of the Institute of Bioengineering, and from January 2021 became the Dean of the School of Life Sciences.
The Timing, Oscillation, Patterns Laboratory is composed of biologists, engineers, and physicists using molecular genetics, quantitative imaging, and theoretical analysis to study a population of coupled genetic oscillators in the vertebrate embryo termed the segmentation clock. This system drives the rhythmic, sequential, and precise formation of embryonic body segments, exhibiting rich spatial and temporal phenomena spanning from molecular to tissue scales.
Yves LeterrierYves Leterrier joined EPFL in 1993 and is a faculty member of the Materials Institute. He is a senior scientist and lecturer in the Laboratory for Processing of Advanced Composites (LPAC, previously Laboratory of Composite and Polymer Technology, LTC). Activities
2000-2005: Foundation and Chair of the Korea-Switzerland joint symposia on materials and micro-technologies2004-2008: Board member of FLEXIDIS (the European flexible display consortium) 2004-2009: Group leader on lightweight materials for Solar ImpulseSince 2008: Board member of the French Adhesion SocietySince 2000: President of the EPFL Materials Science Library commissionSince 2012: Editorial board member, Applied Surface ScienceSince 2014: Associate Editor, Frontiers in MaterialsSince 2021: Coordinator of the EPFL Minor on 'Engineering for Sustainability'
Background
1987: MS in materials science and solid state physics (INPL, France) 1991: PhD in materials science (Ecole des Mines, INPL, France) 1992: Research Associate, National Institute of Standards and Technology (NIST, USA)
Giorgio MargaritondoDe nationalité américaine et suisse, Giorgio Margaritondo est né à Rome (Italie) en 1946. Il a reçu la Laurea cum laude en physique de l'Université de Rome en 1969. De 1969 à 1978, il a travaillé pour le Consiglio Nazionale delle Ricerche (CNR), à Rome, à Frascati et, pendant la période 1975-1977, chez Bell Laboratories aux Etats-Unis. De 1978 à 1990, il est professeur de physique à l'Université du Wisconsin, à Madison (Etats-Unis); en 1984, il est nommé vice-directeur au Centre de rayonnement synchrotron de la même université. En 1990, il est engagé à l'EPFL comme professeur ordinaire et dirige l'Institut de physique appliquée au Département de physique. Il a été également membre honoraire du corps professoral de l'Université Vanderbilt à Nashville. En 2001 il a été nommé doyen de la Faculté des sciences de base de l'EPFL; en 2004, il a été nommé Vice-président pour les affaires académiques.; en 2010 et jusqu'à sa retraite de l'EPFL en 2016 il est devenu Doyen de la formation continue. A côté de ses cours de physique générale, son activité de recherche porte sur la physique des semiconducteurs et des supraconducteurs (états électroniques, surfaces, interfaces) et des systèmes biologiques; ses principales méthodes expérimentales sont la spectroscopie et la spectromicroscopie électroniques, l'imagerie aux rayons x et la microscopie SNOM, y compris les expériences avec le rayonnement synchrotron et le laser à électrons libres. Auteur d'environ 700 articles scientifiques et de 9 livres, il a aussi été responsable de 1995 à 1998 des programmes scientifiques du Synchrotron ELETTRA à Trieste. Depuis 1997, il a été le coordinateur de la table ronde de la Commission européenne pour le rayonnement synchrotron, et président du conseil de la "Integrated Initiative" de la Commission européenne pour les synchrotrons et les lasers à électrons libres (IA-SFS, ensuite ELISA), le plus grand réseau au monde de laboratoires dans ce domaine. En 2011-2015, il a été Editor-in-Chief du Journal of Physics D (Applied Physics). A présent, il est vice-président du conseil de l'Università della Svizzera Italiana (USI) et président du Scientific and Technological Committee de l'Istituto Italiano di Tecnologia (IIT). Il est "Fellow" de l'American Physical Society et de l'American Vacuum Society; il est également "Fellow and Chartered Physicist" de l'Institute of Physics.
Marilyne AndersenMarilyne Andersen est professeure ordinaire en technologies durables de la construction et dirige le Laboratoire Performance Intégrée au Design (LIPID) qu'elle a fondé en automne 2010. Elle a été Doyenne de la Faculté de l'Environnement Naturel, Architectural et Construit (ENAC) de l'EPFL de 2013 à 2018 et est la Directrice Académique du Smart Living Lab à Fribourg. Elle co-dirige également le Student Kreativity and Innovation Laboratory (SKIL) à l'ENAC.Avant de rejoindre l'EPFL, elle était professeure assistante puis associée (tenure-track) dans le Building Technology Group du MIT, au sein du Département d'Architecture, où elle a fondé et dirigé le MIT Daylighting Lab depuis 2004. Elle a aussi été professeure invitée à la Singapore University of Technology and Design en 2019. Marilyne Andersen détient un Master ès sciences en physique et s'est spécialisée dans l'éclairage naturel durant sa thèse dans la physique du bâtiment à l'EPFL au Laboratoire d'énergie solaire et de physique du bâtiment (LESO) ainsi qu'en tant que chercheuse invitée au Building Technologies Department du Lawrence Berkeley National Laboratory en Californie. Ses recherches se situent à l'interface entre sciences, ingénierie et architecture avec une attention spécifique sur l'impact de la lumière naturelle sur les occupants d'un bâtiment. Avec un focus sur les questions de confort, de perception et de santé et leurs implications énergétiques, ces efforts de recherche visent à une intégration plus profonde de la performance lumineuse et du confort intérieur dans le processus de conception, grâce à de nouvelles synergies avec d'autres domaines scientifiques, comme la chronobiologie et les neurosciences ainsi que la psychophysique ou l'informatique et l'imagerie digitale. Elle s'appuie sur ces recherches pour les étendre à la pratique architecturale à travers la startup OCULIGHT dynamics qu'elle a co-fondée, et qui offre des services spécialisés en éclairage naturel avec un accent particulier sur les effets psycho-physiologiques de la lumière naturelle sur les occupants d'un bâtiment. Elle est l'auteure de plus de 200 articles référés publiés dans des revues scientifiques et lors de conférences internationales, ainsi que la lauréate de plusieurs bourses et prix dont: le Daylight Award for Research (2016), onze prix et distinctions pour ses publications (2009, 2011, 2012, 2015, 2018, 2019, 2021) dont le Taylor Technical Talent Award 2009 décerné par la Illuminating Engineering Society, le 3M Non-Tenured Faculty Award (2009), le Mitsui Career Development Professorship au MIT (2008) et le prix EPFL de la Fondation Chorafas en durabilité attribué pour sa thèse (2005). Ses travaux de recherche ou d'enseignement ont été soutenus par des organisations professionnelles, institutionnelles et industrielles tels que les Fonds National pour la Recherche Scientifique (en Suisse et aux USA), la fondation Velux, le programme Européen Horizon 2020, la Boston Society of Architects, la MIT Energy Initiative et InnoSuisse. Elle a été la directrice et responsable académique de l'équipe suisse et son projet NeighborHub, qui a gagné la compétition U.S. Solar Decathlon 2017 avec 8 podiums sur 10 épreuves. Elle est membre du Conseil de la Fondation LafargeHolcim pour la construction durable et dirige son Comité Académique. Elle est également membre du conseil éditorial de la revue scientifique Building and Environment chez Elsevier ainsi que des revues LEUKOS (de la Illuminating Engineering Society) et Buildings and Cities chez Taylor et Francis. Elle est Experte pour le Conseil d'Innovation InnoSuisse ainsi que membre fondatrice et membre du Conseil de la Fondation Culture du Bâti (CUB). Elle est aussi membre fondatrice de la Daylight Academy et membre active de plusieurs comités de l'Illuminating Engineering Society (IES) et de la Commission Internationale de l'Eclairage (CIE).
Johan AuwerxJohan Auwerx is Professor at the École Polytechnique Fédérale in Lausanne, Switzerland, where he occupies the Nestle Chair in Energy Metabolism. Dr. Auwerx has been using molecular physiology and systems genetics to understand metabolism in health, aging and disease. Much of his work focused on understanding how diet, exercise and hormones control metabolism through changing the expression of genes by altering the activity of transcription factors and their associated cofactors. His work was instrumental for the development of agonists of nuclear receptors - a particular class of transcription factors - into drugs, which now are used to treat high blood lipid levels, fatty liver, and type 2 diabetes. Dr. Auwerx was amongst the first to recognize that transcriptional cofactors, which fine-tune the activity of transcription factors, act as energy sensors/effectors that influence metabolic homeostasis. His research validated these cofactors as novel targets to treat metabolic diseases, and spurred the clinical use of natural compounds, such as resveratrol, as modulators of these cofactor pathways.
Johan Auwerx was elected as a member of EMBO in 2003 and is the recipient of a dozen of international scientific prizes, including the Danone International Nutrition Award, the Oskar Minkowski Prize, and the Morgagni Gold Medal. His work is highly cited by his peers with a h-factor of over 100. He is an editorial board member of several journals, including Cell Metabolism, Molecular Systems Biology, The EMBO Journal, Journal of Cell Biology, Cell, and Science. Dr. Auwerx co-founded a handful of biotech companies, including Carex, PhytoDia, and most recently Mitobridge, and has served on several scientific advisory boards.
Dr. Auwerx received both his MD and PhD in Molecular Endocrinology at the Katholieke Universiteit in Leuven, Belgium. He was a post-doctoral research fellow in the Departments of Medicine and Genetics of the University of Washington in Seattle.