The Condemnations at the medieval University of Paris were enacted to restrict certain teachings as being heretical. These included a number of medieval theological teachings, but most importantly the physical treatises of Aristotle. The investigations of these teachings were conducted by the Bishops of Paris. The Condemnations of 1277 are traditionally linked to an investigation requested by Pope John XXI, although whether he actually supported drawing up a list of condemnations is unclear.
Approximately sixteen lists of censured theses were issued by the University of Paris during the 13th and 14th centuries. Most of these lists of propositions were put together into systematic collections of prohibited articles. Of these, the Condemnations of 1277 are considered particularly important by those historians who consider that they encouraged scholars to question the tenets of Aristotelian science. From this perspective, some historians maintain that the condemnations had positive effects on the development of science, perhaps even representing the beginnings of modern science.
The Condemnation of 1210 was issued by the provincial synod of Sens, which included the Bishop of Paris as a member (at the time Pierre II de la Chapelle). The writings of a number of medieval scholars were condemned, apparently for pantheism, and it was further stated that: "Neither the books of Aristotle on natural philosophy or their commentaries are to be read at Paris in public or secret, and this we forbid under penalty of excommunication." However, this had only local force, and its application was further restricted to the Arts faculty at the University of Paris. Theologians were therefore left free to read the prohibited works, the titles of which were not even specified. Alexander of Aphrodisias was probably among the Aristotelian commentators whose influence was targeted.
The University of Toulouse (founded in 1229) tried to capitalise on the situation by advertising itself to students: "Those who wish to scrutinize the bosom of nature to the inmost can hear the books of Aristotle which were forbidden at Paris.
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La renaissance du est une période majeure de renouveau du monde culturel au Moyen Âge, mise en évidence par les travaux des historiens Charles H. Haskins, Jacques Le Goff ou encore Jacques Verger. Sur le plan architectural, elle voit s'imposer le château fort en pierre, construction tardive mais devenue emblématique du Moyen Âge, qui remplace définitivement la motte castrale à palissade en bois. On parle plus précisément d'architecture philippienne.
La physique d'Aristote est une description de la nature qu'a proposé Aristote (384-322 ) dans son ouvrage Physique. Au , son approche est désuète, même si sa théorie des quatre éléments est évoquée à l'occasion. Le philosophe grec a tenté d'établir des principes généraux pour les changements dont les corps naturels sont les sièges, qu'ils soient vivants, inanimés, célestes ou terrestres - y compris les mouvements (changements par rapport à un lieu), les changements quantitatifs (changements par rapport à la taille ou au nombre), les changements qualitatifs et les changements substantiels (« devenir » [venir à l'existence, génération] ; « disparaître » [ne plus exister, « corruption »]).
Le thomisme est une école de pensée philosophico-théologique inspirée des écrits de saint Thomas d'Aquin consistant principalement en un réalisme philosophique. Le thomisme a pris de nombreuses formes selon les périodes et les circonstances, s'éloignant plus ou moins des véritables thèses du docteur de l'Église selon les types de formes, certaines consistant en une interprétation extrêmement libre, d'autres se contentant d'une conservation rigide à la lettre de la Somme théologique.