Forêt boréale canadiennevignette|Vue sur le fleuve Yukon près de Carmacks (Yukon), Canada. La forêt boréale canadienne couvre environ 28% de la forêt boréale planétaire. Elle est constituée d'arbres tolérants au froid, conifères et de nombreuses espèces résineuses (pins, épinettes, mélèzes, sapins et thuyas) et de quelques espèces feuillues (peupliers et bouleaux). À l'intérieur de la zone boréale, la répartition actuelle des espèces boréales s'explique par la capacité de ces espèces à supporter le climat froid et par l'histoire postglaciaire de la zone.
Refugium (population biology)In biology, a refugium (plural: refugia) is a location which supports an isolated or relict population of a once more widespread species. This isolation (allopatry) can be due to climatic changes, geography, or human activities such as deforestation and overhunting. Present examples of refugial animal species are the mountain gorilla, isolated to specific mountains in central Africa, and the Australian sea lion, isolated to specific breeding beaches along the south-west coast of Australia, due to humans taking so many of their number as game.
Sequoia sempervirensLe Séquoia à feuilles d'if, Séquoia toujours vert ou Séquoia sempervirent (Sequoia sempervirens) est une espèce de conifères de la famille des Taxodiaceae (classification classique) ou des Cupressaceae (classification phylogénétique). Il est l'unique représentant actuel du genre Sequoia. Originaire de la côte Pacifique des États-Unis (Californie et Sud de l'Oregon), il comprend les arbres les plus hauts du monde.
Forêt plantéevignette|redresse=1.8|Carte mondiale du World Resources Institute représentant les forêts plantées (planted forest) et les cultures arbustives (tree crops). Selon la FAO, les forêts plantées représentent 7 % de la couverture forestière mondiale et sont en constante augmentation depuis 1990. Une forêt plantée est une . Cette définition de la FAO recouvre deux principaux écosystèmes : la plantation forestière constituée de forêts équiennes à une seule ou peu d’espèces, et la forêt dont une composante plantée vient compléter la régénération naturelle obtenue.
Forêt tempérée déciduethumb|300px|Une forêt allemande en Rhénanie-Palatinat La forêt tempérée décidue est un biome tempéré peuplé de très grands arbres aux feuilles caduques. Ce type de biome est aujourd'hui localisé principalement en Asie de l'Est, dans une grande partie de l'Europe, et en Amérique du Nord. La constitution varie selon les zones, mais ces forêts sont généralement constituées de chênes, d'érables, de hêtres et d'ormes. La forêt tempérée décidue couvre les endroits où les précipitations sont suffisamment abondantes et fréquentes pour permettre la croissance de ces grands arbres.
Canopéethumb|Pont du ciel, permettant de découvrir la canopée de l'île de Langkawi, Malaisie vignette|Arbre émergent dont le fût émerge de la canopée (Parc national de Khao Yai en Thaïlande). La canopée (du latin la, « moustiquaire, lit entouré d’une moustiquaire », lui-même du grec grc, kônôpeion, « rideau contre les cousins », qui a pris le sens de conopée, canopée, avant d’évoluer encore pour devenir canapé) est la strate supérieure d'une forêt, composée des feuillages directement exposés au rayonnement solaire.
Écologie forestièreL'écologie forestière est la branche de l'écologie qui étudie les forêts de la planète. L'écologie forestière cherche à comprendre notamment les effets de la déforestation, de la fragmentation forestière et de diverses formes de modification, surexploitation, artificialisation ou destructions de forêt. Ils s'appuient notamment sur les typologies forestières, la phytosociologie, les associations typiquement forestières, les espèces bio indicatrices (qui peuvent être aussi modestes que par exemple les collemboles), et donc la biodiversité de la forêt et en particulier de la flore forestièreRameau, J.
Perturbation écologiqueDans le domaine de l'environnement, la notion de perturbation (à ne pas confondre avec celle de « dérangement », plus utilisée dans les contextes légaux), désigne une détérioration naturelle et souvent provisoire de l’environnement ou d'un écosystème. Ce concept a pris une importance croissante dans l'étude des cycles naturels et des habitats.