The Carta de Logu was a legal code of the Judicate of Arborea, written in the Sardinian language and promulgated by the juighissa ("Lady Judge") Eleanor of Arborea in 1392. It was in force in Sardinia until it was superseded by the Savoyard code of Charles Felix in April 1827.
The Carta was a work of great importance in Sardinian history and in European Juridic history as a whole. It was an organic, coherent, and systematic work of legislation encompassing the civil and penal law. The history of the drafting of the Carta is unknown, but the Carta itself provides an excellent glimpse into the ethnological and linguistic situation of late medieval Sardinia.
In the Carta there is the modernizing of certain norms and the juridical wisdom that contains elements of the Roman-canonical tradition, the Byzantine one, the Bolognese jurisprudence and the thought of the glossators of the Catalan court culture, but above all the local juridical elaboration of the Sardinian customs made by Sardinian municipal law.
One notable provision of the Code is that it gave daughters and sons the same inheritance rights. As well, it also declared that rape could be recompensed through marriage only if the woman who was raped agreed to marry her rapist, and even if she did the Code declared that the rapist still had to either pay a large fine to the Senate or have his foot cut off (his choice). If she did not agree to marry him, he had to give her a dowry that suited her social status, so that she could marry someone else, and he still had to either pay a large fine to the Senate or have his foot cut off (his choice). As well, these punishments were not affected by whether or not the woman in question was betrothed.
The Code also caused Eleanor of Arborea to be remembered as one of the first lawmakers to set up the condition of reciprocity when dealing with foreigners, as well as the crime of misfeasance.
Birocchi, I. and Mattone A. La carta de logu d'Arborea nella storia del diritto medievale e moderno. Laterza: 2004.
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Oristano est une ville, chef-lieu de la province de même nom en Sardaigne (Italie). En sarde, Aristhanis, en espagnol Oristan et en catalan Oristany. Oristano se trouve dans la plaine du Campidano. La ville compte une cimenterie du groupe français Vicat. C'était la capitale du judicat d'Arborée jusqu'en 1410, après l'abandon de la première capitale, Tharros. En 1637, dans le cadre de la guerre de Trente Ans, la flotte française commandée par la comte d'Harcourt débarquait et prenait possession de la ville en détruisant les fortifications.
250px|thumb|Les quatre Judicats Sardes. Les Judicats (en italien Giudicati, du latin médiéval Judex Provincae) étaient les quatre royaumes (en sarde Rennus) de la Sardaigne médiévale, et disposaient d'une grande autonomie entre les et s. Leur date de création est incertaine. Ils étaient des États souverains avec summa potestas. Les quatre Judicats sardes étaient Cagliari, Torres ou Logudoro, Arborée (ou Oristano) et Gallura. L'absence quasi totale de sources historiques ne permettent pas d'avoir une certitude sur le passage de l'autorité centrale byzantine à la naissance des quatre États.
Sassari (en sassarais : Sàssari) est une ville de la province de Sassari en Sardaigne, Italie. Sassari, ville d’environ , est la deuxième ville de Sardaigne, au nord-ouest de l'île. Le centre-ville se situe à environ 20 km de la côte, toujours comprises dans le territoire communal. Sassari se situe à proximité des ports de Porto Torres et d'Alghero (et de son aéroport). La gare ferroviaire assure des liaisons vers Cagliari et Olbia. La ville possède un tramway.
Partant d’une lecture des auteurs néolibéraux, dans le sillage de Michel Foucault, il s’agit de penser l’élaboration de l’architecture dissidente dans son opposition à la cellule spatiale familialiste et du travail et son mode de reproduction saisi comme impasse. S’impose alors une proposition érotique contre le devenir-privé du monde.