La saillance motivationnelle est un processus cognitif et une forme d'attention qui motive ou propulse le comportement d'un individu vers ou loin d'un objet particulier, d'un événement ou d'un résultat perçu. La saillance motivationnelle régule l'intensité des comportements qui facilitent la réalisation d'un objectif particulier, la quantité de temps et d'énergie qu'un individu est prêt à consacrer pour atteindre un objectif particulier, et la quantité de risque qu'un individu est prêt à accepter tout en travaillant pour atteindre un objectif particulier.
La saillance motivationnelle est composée de deux processus qui se définissent par leurs effets attractifs ou aversifs sur le comportement d'un individu par rapport à un stimulus particulier : la saillance incitative et la saillance aversive. La saillance incitative est la forme attractive de saillance motivationnelle qui provoque un comportement d'approche et est associée à un renforcement opérant, à des résultats souhaitables et à des stimuli agréables. La saillance aversive est la forme aversive de saillance motivationnelle qui provoque un comportement d'évitement et est associée à une punition opérante, à des résultats indésirables et à des stimuli désagréables.
La saillance incitative est un processus cognitif qui confère à un stimulus gratifiant un attribut «désir» ou «envie», qui comprend une composante motivationnelle. La récompense est la propriété attractive et motivante d'un stimulus qui induit un comportement appétitif - également connu sous le nom de comportement d'approche - et un comportement de consommation. Le «désir» de la saillance incitative diffère du «goût» (ou plaisir) dans le sens où le goût est le plaisir qui est immédiatement obtenu de l'acquisition ou de la consommation d'un stimulus gratifiant ; le «désir» de saillance incitative sert à la qualité d'«aimant motivationnel» à un stimulus gratifiant qui en fait un objectif souhaitable et attrayant, le transformant d'une simple expérience sensorielle en quelque chose qui attire l'attention, induit une approche, et provoque la recherche.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Animals must learn from past experiences, to adapt their behavior to an ever-changing environment. Students will learn about the neuronal circuit mechanisms of reward-based learning, and of aversively
Explore la perspective évolutive de la surprise, de la curiosité et de la récompense, en mettant l'accent sur le rôle des signaux de récompense primaires et secondaires.
La saillance motivationnelle est un processus cognitif et une forme d'attention qui motive ou propulse le comportement d'un individu vers ou loin d'un objet particulier, d'un événement ou d'un résultat perçu. La saillance motivationnelle régule l'intensité des comportements qui facilitent la réalisation d'un objectif particulier, la quantité de temps et d'énergie qu'un individu est prêt à consacrer pour atteindre un objectif particulier, et la quantité de risque qu'un individu est prêt à accepter tout en travaillant pour atteindre un objectif particulier.
Le système de récompense / renforcement aussi appelé système hédonique, est un système fonctionnel fondamental des mammifères, situé dans le cerveau, le long du faisceau médian du télencéphale. Ce système de « récompenses » est indispensable à la survie, car il fournit la motivation nécessaire à la réalisation d'actions ou de comportements adaptés, permettant de préserver l'individu et l'espèce (prise de risque nécessaire à la survie, recherche de nourriture, reproduction, évitement des dangers, etc.).
L'addiction, , ou assuétude, est l'envie répétée et irrépressible de faire ou de consommer quelque chose en dépit de la motivation et des efforts du sujet pour s'y soustraire. L'anglicisme addiction désigne tout attachement nocif à une substance ou à une activité. Le terme plus ancien d’assuétude est d'usage courant dans certaines régions de la francophonie, notamment au Québec. Dans d'autres régions, il est vieilli, mais reste parfois utilisé pour qualifier des dépendances faibles comme celle au chocolat.