The Asiento de Negros (agreement of blacks) was a monopoly contract between the Spanish Crown and various merchants for the right to provide African slaves to colonies in the Spanish Americas. The Spanish Empire rarely engaged in the trans-Atlantic slave trade directly from Africa itself, choosing instead to contract out the importation to foreign merchants from nations more prominent in that part of the world; typically Portuguese and Genoese, but later the Dutch, French, and British. The Asiento did not concern French or British Caribbean but Spanish America.
The 1479 Treaty of Alcáçovas divided the Atlantic Ocean and other parts of the globe into two zones of influence, Spanish and Portuguese. The Spanish acquired the west side, washing South America and the West Indies, whilst the Portuguese obtained the east side, washing the west coast of Africa - and also the Indian Ocean beyond. The Spanish relied on enslaved African labourers to support their American colonial project, but now lacked any trading or territorial foothold in West Africa, the principal source of slave labour. The Spanish relied on Portuguese slave traders to fill their requirements. The contract was usually obtained by foreign merchant banks that cooperated with local or foreign traders, that specialized in shipping. Different organisations and individuals would bid for the right to hold the asiento.
The original impetus to import enslaved Africans was to relieve the indigenous inhabitants of the colonies from the labour demands of Spanish colonists. The enslavement of Amerindians had been halted by the influence of Dominicans such as Bartolomé de las Casas. Spain gave individual asientos to Portuguese merchants to bring African slaves to South America.
After the Treaty of Münster, in 1648, Dutch merchants became involved in the Asiento de Negros. In 1713, the British were awarded the right to the asiento in the Treaty of Utrecht, which ended the War of the Spanish Succession. The British government passed its rights to the South Sea Company.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
Le Mexique, officiellement et en forme longue les États-Unis mexicains (en espagnol : México et Estados Unidos Mexicanos), est un pays situé dans la partie méridionale de l'Amérique du Nord. Délimité à l'est-sud-est par le Guatemala et le Belize, et au nord-nord-ouest par les États-Unis d'Amérique, il est bordé à l'est par le golfe du Mexique et la mer des Caraïbes et au sud-ouest par l'océan Pacifique. C'est le quatorzième pays en superficie, avoisinant deux millions de kilomètres carrés.
thumb|Séville au . La Flotte des Indes (Flota de Indias en espagnol) était une flotte organisée en convoi par l'empire espagnol, entre 1566 et 1790. Cette flotte servait aux transports de l'empire espagnol des Indes vers l'Espagne de biens d'une grande variété. Ceux-ci étaient aussi bien des produits agricoles que du bois de construction, des minerais, des produits manufacturés ou des objets de luxe. Mais surtout, la flotte des Indes était réputée pour transporter des richesses fabuleuses : métaux précieux (argent et or), pierres précieuses, perles, épices, sucre, tabac, soie et autres biens exotiques.
L’histoire de l'esclavage est celle des différentes formes prises par la condition sociale d'êtres humains privés par d'autres du droit de propriété sur eux-mêmes. Les premières attestations de l'esclavage remontent au Néolithique. Dans les archives historiques du Moyen-Orient, les mieux connues, l'Égypte antique et la Perse ont précédé l'esclavage arabo-musulman, à son tour imité par certains pays européens à partir des et . Le phénomène est devenu intercontinental au par les traites négrières du commerce triangulaire.
La situation territoriale de Gênes, enclavée entre mer et montagne, a conduit son port à s'étendre sur le long de la côte, privant la ville de son rapport à l'eau. Conscientes de ce problème, les autorités génoises veulent retrouver une relation entre ces ...