Fondée en 2007, AgroParisTech, l’institut national des sciences et industries du vivant et de l’environnement, est un établissement public placé sous la tutelle du ministère de l’Agriculture et de la Souveraineté alimentaire. Acteur de l’enseignement supérieur et de la recherche, cet établissement de référence au plan international s’adresse aux grands enjeux du 21e siècle : nourrir les hommes en gérant durablement les territoires, préserver les ressources naturelles, favoriser les innovations et intégrer la bioéconomie Grande école c'est l'une des françaises accréditées au à délivrer un diplôme d'ingénieur. AgroParisTech est membre fondateur et un établissement-composante de l’université Paris-Saclay, membre du réseau ParisTech et membre d’Agreenium. Créé le , AgroParisTech résulte de la fusion de trois grandes écoles : l'Institut national agronomique Paris-Grignon (INA-PG) ; l'École nationale du génie rural, des eaux et des forêts (ENGREF) ; l'École nationale supérieure des industries agricoles et alimentaires (ENSIA). En 1826, le roi Charles X achète le château de Grignon, son parc et ses terres de pour fonder l’institution royale agronomique de Grignon qui devient ensuite l’école nationale supérieure d'agronomie de Grignon. Elle fusionne en 1971 avec l’Institut national agronomique (créé en 1848) pour devenir l’Institut national agronomique Paris-Grignon (INA-PG). En 1824 est fondée l’école royale forestière à Nancy. Elle devient « école impériale forestière » en 1853, « école nationale forestière » en 1873, puis « école nationale des eaux et forêts ». Elle devient en 1882 une école d’application de l’institut national agronomique et de l'École polytechnique. Elle était chargée de former les gestionnaires de forêts. En 1965, l’école nationale des eaux et forêts fusionne avec l’école supérieure du génie rural (créée en 1919) pour donner naissance à l’École nationale du génie rural, des eaux et des forêts (ENGREF). En 1989, l'École nationale des ingénieurs des travaux des eaux et forêts (école d'ingénieurs forestiers des Barres) est démantelée et intégrée à l’ENGREF.