ResponsaLes responsa (latin : pluriel de responsum, « réponse ») comprennent un corpus de décisions écrites et réglementations données par des experts en loi en réponse à des questions qui leur sont adressées. À l'origine du droit romain, il s'agissait de réponses orales données par les pontifes aux questions concernant la bonne tenue des rites religieux et du mos maiorum (coutumes). Responsa (judaïsme) Les responsa sont des réponses doctrinales formulées par la congrégation pour la doctrine de la foi. Catégorie:R
Asher ben YehielRabbenou Asher ben Yehiel (1250, Allemagne - 1327, Tolède, Espagne), dit le Rosh (hébreu הרא"ש), est l’un des principaux décisionnaires de l’époque des Rishonim, les Maîtres médiévaux. Éminent talmudiste, il est l'élève - et le gendre - de Rabbi Meïr de Rothenburg. Descendant d’une longue lignée rabbinique dont l’origine remonte jusqu’à Rabbenou Guershom ben Yehouda, il est l'arrière-petit-fils de Rabbi Eliezer ben Nathan de Mayence, l’un des guedolei hador (« Grands de sa génération »).
Divine lawDivine law is any body of law that is perceived as deriving from a transcendent source, such as the will of God or gods - in contrast to man-made law or to secular law. According to Angelos Chaniotis and Rudolph F. Peters, divine laws are typically perceived as superior to man-made laws, sometimes due to an assumption that their source has resources beyond human knowledge and human reason. Believers in divine laws might accord them greater authority than other laws, for example by assuming that divine law cannot be changed by human authorities.
Rosh yeshivavignette|Nosson Tzvi Finkel. Un rosh yeshiva (ou roch yechiva) (hébreu: ראש ישיבה, ou araméen ריש מתיבתא, Reish Metivta, « maître de la session ») est le doyen d'une académie talmudique. Actuellement, le roch yechiva est considéré comme le maître à penser dans son établissement, et inculque à ses élèves la méthode d'étude du Talmud et, plus généralement, de la Torah. Le titre de roch yechiva apparaît pour la première fois dans le Talmud, mais la fonction semble s'être plutôt affirmée à l'ère des Gueonim, et des grandes académies talmudiques de Babylonie, où l'institution de la yechiva reçoit son acceptation actuelle.
AharonimImageSize = width:590 height:120 PlotArea = width:570 height:25 left:5 bottom:60 TimeAxis = orientation:horizontal DateFormat = yyyy Period = from:-250 till:2000 AlignBars = early ScaleMajor = unit:year increment:200 start:-200 ScaleMinor = unit:year increment:50 start:-200 Colors = id:turkiz value:rgb(0,0.76,0.76) id:treaty value:rgb(0.6,0.8,0.6) id:lightgrey value:rgb(0.6,0.8,0.4) id:darkgrey value:rgb(0.6,0.8,0) id:Celadon value:rgb(0.67,1,0.68) id:TeaGreen value:rgb(0.81,0.94,0.
AmoraïmAmoraïm (judéo-araméen: אמוראים, singulier אמורא Amora : « exposant ») est un terme générique pour désigner les docteurs du Talmud, qui opèrent entre la clôture du Mishna (vers 200 ap. J.C.) et la compilation des Talmuds (vers 400 ap. J.C. pour le Talmud de Jérusalem, un siècle plus tard pour le Talmud de Babylone). L'époque des Amoraïm voit s'affirmer, à côté du centre juif de la terre d'Israël, situé d'abord à Tzippori, en Basse Galilée, puis à Tibériade, le centre dit « babylonien », en Mésopotamie, dont le pôle principal est l'académie de Soura, et accessoirement celle de Poumbedita.
Loi oraleUne loi orale est un code de conduite en usage dans une culture, une religion ou un groupe donné, par lequel un ensemble de règles de conduite humaine sont transmises par tradition orale et respectées en pratique, ou non. Beaucoup de cultures possèdent une loi orale, alors que les systèmes légaux les plus contemporains s'appuient sur une organisation écrite plus formelle. La tradition orale (du Latin tradere = transmettre) est l'instrument de transmission typique des codes oraux ou constitue, plus généralement, l'ensemble de ce qu'une culture transmet d'elle-même aux générations futures, « de père en fils ».
Bahya ibn PaqudaBahya ben Joseph ibn Paquda (hébreu : בחיי אבן פקודה), également appelé Rabbenou Bahya (« notre maître Bahya »), est un rabbin et philosophe andalou de la première moitié du . On possède sur lui beaucoup moins d'éléments biographiques que de souvenirs de son œuvre. On sait qu'il fut dayan (juge d'un tribunal rabbinique) en Espagne. Ses écrits nous dévoilent un érudit aussi versé dans la littérature rabbinique traditionnelle que dans les sciences et la philosophie arabe, grecque et romaine dont il cite de nombreux moralistes dans ses œuvres.