Le bonheur national brut ou BNB (en dzongkha : རྒྱལ་ཡོངས་དགའ་སྐྱིད་དཔལ་འཛོམས་ ; Wylie : rgyal-yongs dga'a-skyid dpal-'dzoms ; Gyalyong Gakid Palzom ; en anglais, Gross National Happiness ou GNH) est un indice servant au gouvernement du Bhoutan à mesurer le bonheur et le bien-être de la population du pays. Inscrit dans la constitution promulguée le 18 juillet 2008, il se veut une définition du niveau de vie en des termes plus globaux que le produit national brut.
Préconisé par le roi du Bhoutan, Jigme Singye Wangchuck, en 1972, cet indice a pour objectif de guider l'établissement de plans économiques et de développement pour le pays tout en respectant les valeurs spirituelles bouddhistes.
La notion de bonheur national brut a été énoncée en 1972 par le roi du Bhoutan Jigme Singye Wangchuck, l'année de son accession au trône à l'âge de 16 ans. Il s'agit d'une solution de rechange au calcul habituel de la richesse des nations fondé sur l'indicateur appelé « produit national brut » (PNB). Le jeune roi considère que les indicateurs économiques traditionnels ne tiennent pas suffisamment compte du bonheur des individus et favorisent une croissance sans limites déjà dénoncée par le rapport Meadows. Selon Hans et Wallapa van Willenswaard, le souverain propose cette nouvelle solution en réaction aux agences internationales de développement qui poussent à l'ouverture économique du pays.
Des troubles politiques retardent la mise en œuvre d'un projet que le souverain expose encore aux médias lors de sa participation au sommet des pays non-alignés à Cuba, en 1979. Il faut attendre 1998 pour voir le contenu du BNB être clairement défini et présenté par le premier ministre, Jigmi Y. Thinley, lors du Sommet du Millénaire Asie-Pacifique. , veiller à la préservation des ressources nécessaires aux générations futures et contribuer à une meilleure harmonie avec les valeurs spirituelles bouddhistes du royaume.
Le BNB apparaît comme un indice englobant (de manière assez large) le produit intérieur brut (PIB) ou l'indice de développement humain (IDH) qui apparaissent comme insuffisants pour mesurer le bonheur des habitants d'un pays.
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This course examines growth from various angles: economic growth, growth in the use of resources, need for growth, limits to growth, sustainable growth, and, if time permits, population growth and gro
L’économie du bonheur est une branche émergente de l'économie. Elle se distingue de l'économie du bien-être en ce qu'elle ne fonde pas ses analyses sur des considérations objectives et générales (la santé, l'éducation, l'environnement, etc) mais sur ce que l'on appelle communément le bonheur ; plus précisément sur des témoignages d'ordre subjectif, recueillis lors d'enquêtes associant psychologie et sociologie, au cours desquelles chacun indique comment s'établissent par exemple ses liens avec sa famille, ses relations au travail, son rapport à l'argent, l'importance que l'on donne à ce qui est utile, nécessaire, et ce qui ne l'est pas.
Le bonheur national brut ou BNB (en dzongkha : རྒྱལ་ཡོངས་དགའ་སྐྱིད་དཔལ་འཛོམས་ ; Wylie : rgyal-yongs dga'a-skyid dpal-'dzoms ; Gyalyong Gakid Palzom ; en anglais, Gross National Happiness ou GNH) est un indice servant au gouvernement du Bhoutan à mesurer le bonheur et le bien-être de la population du pays. Inscrit dans la constitution promulguée le 18 juillet 2008, il se veut une définition du niveau de vie en des termes plus globaux que le produit national brut.
Le Bhoutan ( ; en dzongkha : འབྲུག་ཡུལ་, Druk Yul, translittération Wylie : ʼbrug-yul, ), en forme longue le royaume du Bhoutan, est un pays d'Asie du Sud, sans accès à la mer. Il est situé dans l'Est de la chaîne de l'Himalaya, enclavé entre l'Inde au sud, à l'est et à l'ouest-sud-ouest, avec laquelle il partage de frontières terrestres, et la Chine (région autonome du Tibet) au nord et à l'ouest-nord-ouest, avec de frontières.
Examine les raisons pour lesquelles le bonheur n'augmente pas avec le PIB par habitant, s'attaquant aux illusions de la consommation, à l'impact du soutien social et de la liberté, et aux germes du malheur.
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S'insère dans la relation complexe entre la croissance économique et le bonheur, remettant en question la nécessité de la croissance pour le bien-être et la stabilité.