Concept

Géographie de l'Irak

Résumé
La géographie de l'Irak est une construction relativement récente issue de la colonisation britannique. Avant, il ne représentait qu'une province des empires qui se succédèrent au cours de l'histoire. La géographie de l'Irak est diversifiée et se divise en quatre régions principales: le désert (à l'ouest de l'Euphrate), la Haute-Mésopotamie (entre le Tigre supérieur et l'Euphrate), les montagnes du nord du Kurdistan irakien (Cheekha Dar, Halgurd), et la Basse-Mésopotamie, la plaine alluviale qui s'étend de autour de Tikrit dans le golfe Persique. Les montagnes dans le nord-est sont une extension de l'orogenèse alpine qui s'étend vers l'est, des Balkans à travers le sud de la Turquie, le nord de l'Irak, l'Iran et l'Afghanistan, pour finalement atteindre l'Himalaya. Le désert, dans les provinces du sud et du centre, longe les frontières avec l'Arabie saoudite et la Jordanie et appartient géographiquement à la péninsule arabique. Les températures moyennes du pays sont les plus élevées en juillet et en août (jusqu'à en moyenne maximale) et les plus basses en janvier (parfois au-dessous de en moyenne minimale). Les très fortes chaleurs estivales présentes dans une grande partie du pays s'expliquent notamment par les très basses altitudes, proches du niveau de la mer à cause de la proximité avec le Golfe Persique. Or, lorsqu'on monte en altitude, l'effet rafraîchissant se fait tout de suite sentir et les températures sont beaucoup moins extrêmes et dépassent rarement les dans les moyennes montagnes. La plupart des précipitations ont lieu de décembre à avril et apportent en moyenne entre 100 et de pluie par an. La région montagneuse du nord de l'Irak reçoit des précipitations sensiblement plus élevée que les régions désertiques centrales ou du sud. Environ 90 % de la pluviométrie annuelle se situe entre novembre et avril, en revanche, les mois les plus chauds de juin, juillet et août sont très secs. Les précipitations dans les montagnes sont plus abondantes et peuvent atteindre millimètres par an à certains endroits, mais le terrain empêche la culture extensive.
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