Japanese traditional dance describes a number of Japanese dance styles with a long history and prescribed method of performance. Some of the oldest forms of traditional Japanese dance may be among those transmitted through the kagura tradition, or folk dances relating to food producing activities such as planting rice (dengaku) and fishing, including rain dances. There are large number of these traditional dances, which are often subfixed -odori, -asobi, and -mai, and may be specific to a region or village. Mai and odori are the two main groups of Japanese dances, and the term 舞踊 was coined in modern times as a general term for dance, by combining 舞 (which can also be pronounced bu) and 踊 (which can also be pronounced yō).
Mai is a more reserved genre of dance that often has circling movements, and dances of the Noh theatre are of this tradition. A variation of the Mai style of Japanese dance is Kyomai, or Kyoto-style dance. Kyomai developed in the 17th century Tokugawa cultural period. It is heavily influenced by the elegance and sophistication of the manners often associated with the Imperial Court in Kyoto. Odori has more vigorous stepping movements and is more energetic, and dances of the kabuki theatre belong to this category.
There are several types of traditional Japanese dance. The most basic classification is into two forms, mai and odori, which can be further classified into genres such as Noh mai or jinta mai, the latter style having its origins in the pleasure districts of Kyoto and Osaka.
The mai style is reserved and typified by circling movements where the body is kept low to the ground. The odori style includes folk dances performed at annual Bon festival events and dances that were part of traditional kabuki performances. The odori style features larger movements and is typically more energetic.
Traditional dance forms in the present day have also been influenced by Western dance forms like ballet, which were introduced to Japan during the Meiji Restoration.
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Une , aussi appelée ou , est au Japon une artiste et une dame de compagnie, qui consacre sa vie à la pratique artistique raffinée des arts traditionnels japonais pour des prestations d'accompagnement et de divertissement, pour une clientèle très aisée. Elle cultive le raffinement artistique dans divers domaines tels que l'habillement en kimono, la musique classique, la danse, les rapports sociaux et la conversation, et les jeux... Le mot « geisha » peut s’interpréter comme « personne d’arts » ou « femme qui excelle dans le métier de l'art ».
thumb|upright=1.5|Photo de Kusakabe Kimbei : prostituées en vitrine à Yoshiwara. Le était un quartier célèbre d'Edo (aujourd'hui Tokyo), au Japon. Il était connu pour être le quartier des plaisirs, célèbre pour ses artistes, ses courtisanes et ses prostituées. vignette|Carte du quartier en 1846 thumb|Cerisiers le long de Gokacho à nouvelle Yoshiwara, 1835 thumb|Yoshiwara carte par Hiroshige II, juillet 1860 Au tout début du , le chef de guerre (Shogun) Tokugawa Ieyasu (1543-1616) crée une nouvelle capitale administrative à Edo, rebaptisée Tokyo en 1868, siège du shogunat.
L' ou est la subdivision traditionnelle de l'histoire du Japon qui commence vers 1600, avec la prise de pouvoir de Tokugawa Ieyasu lors de la bataille de Sekigahara, et se termine vers 1868 avec la restauration Meiji. Elle est dominée par le shogunat Tokugawa dont Edo (ancien nom de Tokyo) est la capitale. Oda Nobunaga Au cours de la seconde moitié du , trois chefs militaires se succèdent au pouvoir et contribuent à l'unification de tout l'archipel japonais. Oda Nobunaga commence ce processus d'unification de 1560 à 1582.