Le finitisme est une philosophie des mathématiques qui ne prend en considération que les objets mathématiques finis. On peut faire la comparaison avec la philosophie des mathématiques traditionnelle où les objets mathématiques infinis (par exemple, ensembles infinis) sont aussi légitimes que les autres.
L'idée principale des mathématiques finitistes est le fait de ne pas accepter l'existence d'objets infinis, tels que des ensembles infinis. Bien que tous les entiers naturels soient acceptés comme existants, l'ensemble de tous les entiers naturels n'est pas considéré comme objet mathématique. Par conséquent, la quantification sur des domaines infinis n'est pas considérée comme significative. La théorie mathématique souvent associée au finitisme est l'arithmétique récursive primitive de Thoralf Skolem.
L'introduction d'objets mathématiques infinis est un développement qui a eu lieu il y a déjà quelques siècles. L'utilisation des objets infinis a été un sujet controversé parmi les mathématiciens. Ce problème s'est vu renouvelé lorsque Georg Cantor, à partir de 1874, a introduit ce que l'on appelle la théorie naïve des ensembles, et l'a utilisée comme base pour son travail sur les nombres transfinis. Lorsque des paradoxes comme le paradoxe de Russell, le paradoxe de Berry et le paradoxe de Burali-Forti ont été découverts dans la théorie naïve des ensembles de Cantor, la question est devenue un sujet d'actualité parmi les mathématiciens.
Les mathématiciens ont pris diverses positions. Tous étaient d'accord sur des objets mathématiques finis tels que des entiers naturels. Cependant, il y avait des désaccords concernant l’existence d'objets mathématiques infinis. Une position sur ce point était celle des mathématiques intuitionnistes, avec comme précurseur L. E. J. Brouwer, qui ont rejeté l'existence d'objets infinis à moins qu'ils soient construits.
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Presentation of Wightman's axiomatic framework to QFT as well as to the necessary mathematical objects to their understanding (Hilbert analysis, distributions, group representations,...).Proofs of
En philosophie des mathématiques, l'ultrafinitisme, (aussi connu sous le nom d'ultraintuitionnisme, finitisme strict, ou encore de finitisme fort) est une forme extrême de finitisme. Une caractéristique de l'ultrafinitisme est son objection à la totalité de certaines fonctions numériques jusqu'à y compris l'exponentiation. L'ultrafinitisme nie l'existence de l'ensemble infini des entiers naturels, car celui-ci ne pourra jamais être complété.
Les fondements des mathématiques sont les principes de la philosophie des mathématiques sur lesquels est établie cette science. Le logicisme a été prôné notamment par Gottlob Frege et Bertrand Russell. La mathématique pure présente deux caractéristiques : la généralité de son discours et la déductibilité du discours mathématique . En ce que le discours mathématique ne prétend qu’à une vérité formelle, il est possible de réduire les mathématiques à la logique, les lois logiques étant les lois du « vrai ».
In mathematics, Hilbert's second problem was posed by David Hilbert in 1900 as one of his 23 problems. It asks for a proof that the arithmetic is consistent – free of any internal contradictions. Hilbert stated that the axioms he considered for arithmetic were the ones given in , which include a second order completeness axiom. In the 1930s, Kurt Gödel and Gerhard Gentzen proved results that cast new light on the problem. Some feel that Gödel's theorems give a negative solution to the problem, while others consider Gentzen's proof as a partial positive solution.
This work is devoted to rigorous results about the adiabatic theorem of quantum mechanics. This theorem deals with the time dependent Schrödinger equation when the hamiltonian is a slowly varying function of time, characterizing the so-called adiabatic reg ...