Auschwitz300px|vignette|Localisation des centres d'extermination nazis. Auschwitz (en Konzentrationslager Auschwitz , « camp de concentration d'Auschwitz ») est le plus grand complexe concentrationnaire du Troisième Reich, à la fois camp de concentration et centre d'extermination. Faisant auparavant office de camp militaire, il est situé dans la province de Silésie, à une cinquantaine de kilomètres à l'ouest de Cracovie, sur le territoire des localités d'Oświęcim (Auschwitz en allemand) et de Brzezinka (Birkenau en allemand), annexées au Reich après l'invasion de la Pologne en .
Axe Rome-Berlin-Tokyovignette|Affiche de propagande japonaise à l'occasion de la signature du pacte tripartite, présentant des effigies d'Adolf Hitler, Fumimaro Konoe et Benito Mussolini. vignette|L'ordre nouveau. Caricature de l'axe Rome-Berlin-Tokyo par Arthur Szyk, New York, 1941. Laxe Rome-Berlin-Tokyo, également désigné par l'expression forces de l'Axe (en allemand Achsenmächte, en italien Potenze dell'Asse, en japonais , en hongrois Tengelyhatalmak, en roumain Puterile Axei et en bulgare Сили от Оста (Sili ot Osta)) ou simplement l'Axe, regroupait les nations en guerre contre les Alliés lors de la Seconde Guerre mondiale.
SchutzstaffelLa Schutzstaffel (de l'allemand « escadron de protection » ), plus communément désignée par son sigle SS, est une des principales organisations du régime national-socialiste. Fondée en , initialement chargée de la protection rapprochée d'Adolf Hitler, la SS devient au fil des années un État dans l'État, accumulant les compétences et les missions et passant du stade de groupuscule à celui d'une énorme organisation. Progressivement, ses domaines d'activité se multiplient.
Bataille de FranceLa bataille de France ou campagne de France désigne l'invasion des Pays-Bas, de la Belgique, du Luxembourg et de la France, par les forces du Troisième Reich, pendant la Seconde Guerre mondiale. L'offensive débute le 10 mai 1940, mettant fin à la « drôle de guerre ». Après la percée allemande de Sedan et une succession de reculs des armées britannique, française et belge, ponctuées par les batailles de la Dyle, de Gembloux, de Hannut, de la Lys et de Dunkerque, elle se termine par la retraite des troupes britanniques et la demande d'armistice du gouvernement français, qui est signé le , les militaires ayant refusé la capitulation.