Bouddhisme au Japonvignette|240px|Le Kinkaku-ji à Kyoto. Le a été importé de Chine et de Corée à partir des et s ; il est donc fortement influencé par les bouddhismes chinois et coréen, mais aussi par le shintoïsme, principale religion du Japon née plusieurs siècles auparavant. On peut diviser son histoire en trois grands moments: l’époque de Nara (jusqu'en 784), l’époque de Heian (794-1185) et la période post-Heian (à partir de 1185, début de l’époque de Kamakura).
Art japonaisvignette|Le jardin japonais du Musée d'Art Adachi fondé en 1970 (Adachi Zenko, 1899-1999).Collection d'art moderne japonais depuis Yokoyama Taikan (1858-1968) Lart japonais couvre de nombreux domaines, dont l'architecture japonaise, la peinture japonaise, l'estampe ukiyo-e et la sculpture, la céramique japonaise, l'art du jardin japonais, l'art de la laque japonaise et les arts du textile (dont le kimono) ainsi que l'art contemporain japonais, sous toutes ses formes, avec le manga et lanime qui font tous l'objet de cet article.
Shinto sects and schoolsShinto, the folk religion of Japan, developed a diversity of schools and sects, outbranching from the original Ko-Shintō (ancient Shintō) since Buddhism was introduced into Japan in the sixth century. The main Shinto schools with traditions traceable to early periods, according to authoritative published records are: Bukka Shintō These were the various forms of Shintō developed by Buddhist thinkers, also known as Bukke Shintō. These doctrines combine Buddhist elements with Shintō elements (Shinbutsu shūgō).
Shugendōvignette|290px|Pratiquants du shugendō dans les monts Kumano. Le est une tradition spirituelle millénaire japonaise (fortement influencée par le bouddhisme Vajrayana) où la relation entre l'homme et la nature est primordiale. signifie littéralement , ou voie de l'acquisition de la siddhi. Il porte sur l'ascétisme, la vie en montagne et inclut des enseignements d'autres philosophies orientales (animisme, shintoïsme, taoïsme, confucianisme). Le but du shugendō est le développement d'expériences de pouvoirs spirituels (gen) par la pratique (dō) vertueuse de l'ascèse (shu).
East Asian religionsIn the study of comparative religion, the East Asian religions or Taoic religions, form a subset of the Eastern religions. This group includes Chinese religion overall, which further includes Ancestral Worship, Chinese folk religion, Confucianism, Taoism and popular salvationist organisations (such as Yiguandao and Weixinism), as well as elements drawn from Mahayana Buddhism that form the core of Chinese and East Asian Buddhism at large.
Culture japonaisevignette|Une danseuse exécutant une danse traditionnelle. vignette|Sceau impérial du Japon à 16 pétales doubles. La culture japonaise plonge ses racines dans les cultures continentales chinoise et coréenne, avant de connaître une longue période d'isolement (sakoku) sous le shogunat Tokugawa, jusqu’à l'arrivée des « bateaux noirs » et l'ère Meiji (1868-1912). De ces emprunts variés résulte une culture très différenciée des autres cultures asiatiques et dont l'écho résonne encore dans le Japon contemporain.
ShinshūkyōLes sont de nouveaux mouvements religieux du Japon. Beaucoup d'entre eux sont des syncrétismes entre la pensée traditionnelle japonaise et la pensée occidentale. On distingue généralement les shinshūkyō, créés avant la Seconde Guerre mondiale, des , plus récentes. vignette|Happy Science.
Shingonvignette|200px|Kūkai, fondateur de l'école Shingon est une école bouddhiste japonaise ésotérique, fondée au par le moine Kūkai (空海) qui reçut le titre posthume de Kōbō Daishi (弘法大師), le grand diffuseur de la Loi. Le mot Shingon signifie « parole de vérité »; c'est la traduction japonaise du mot sanskrit mantra, qui désigne l'incantation en Inde. Cette école est, avec l'école Tendai, une des deux écoles à pratiquer le bouddhisme tantrique au Japon.
Major religious groupsThe world's principal religions and spiritual traditions may be classified into a small number of major groups, though this is not a uniform practice. This theory began in the 18th century with the goal of recognizing the relative levels of civility in different societies, but this practice has since fallen into disrepute in many contemporary cultures. Initially, Christians had a simple dichotomy of world beliefs: Christian civility versus foreign heresy or barbarity.
Religion en ChineLe fait religieux dans le monde chinois se caractérise par le pluralisme, favorisé par l’attitude de l'État : celui-ci exerce depuis le début de l’empire () un contrôle attentif sur les groupes susceptibles de constituer une menace pour le pouvoir et la société et met au pas les sectes trop actives, n’accordant qu’exceptionnellement l’exclusivité à un culte. Le syncrétisme et le mélange sont courants, rendant les contours des ensembles religieux flous ; on a l’impression de se trouver face à une constellation de philosophies et de pratiques plutôt qu'à des confessions.