vignette|Bombardement de Canton par les armées britanniques.
Les guerres de l’opium (en 鴉片戰爭) sont des conflits commencés en 1839 et 1856 motivés par des raisons commerciales qui opposèrent au la Chine de la dynastie Qing, voulant interdire le commerce de l’opium sur son territoire, au Royaume-Uni qui voulait l’imposer en paiement des marchandises qu’elle importait.
La défaite de l’armée chinoise en 1860 contre l’armée britannique alliée à celles des États-Unis et de la France, obligea la Chine à concéder le territoire de Hong Kong pour à la Grande-Bretagne.
Depuis 1773, le Royaume-Uni dispose du monopole de la vente d’opium en Chine. Le Royaume-Uni cherche alors à affaiblir la Chine et à la forcer à l’ouverture aux puissances étrangères. À titre de réponse, en 1800, la Chine interdit la culture du pavot pour réduire l’hégémonie de l'Empire britannique sur le marché chinois, mais le Royaume-Uni importa alors le pavot d’Inde pour continuer à alimenter le marché chinois. Le conflit fit émerger des tensions provoquées par le renforcement des lois anti-opium du gouvernement Qing en réponse à l’intensification par les Britanniques de leurs exportations illégales en Chine de l’opium qu’ils produisaient dans l’Inde britannique.
La première guerre de l’opium fut déclenchée lorsque la Chine interdit l’importation et la consommation d’opium en 1839. Elle opposa la Chine au Royaume-Uni, jusqu’en 1842.
La seconde guerre de l’opium se déroula de 1856 à 1860 et vit cette fois l’intervention de la France et des États-Unis aux côtés du Royaume-Uni. Le nom par lequel est désignée cette guerre s’explique par le fait qu’elle peut être considérée comme le prolongement de la première guerre de l’opium.
La Chine perdit les deux guerres et fut contrainte d’autoriser le commerce de l’opium financé par la banque HSBC, en plus de signer des traités inégaux ayant pour conséquence l’ouverture de certains ports et la concession du territoire de Hong Kong pour à la Grande-Bretagne.
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thumb|Le siège des Nations unies jouit du statut d'extraterritorialité à New York, aux États-Unis. L’extraterritorialité est un principe de droit international public qui revient pour un pays à laisser s'exercer l'autorité d'un État étranger ou d'une organisation internationale sur une partie de son territoire propre. C'est le régime qui touche, par exemple, le siège des Nations unies à New York, le Grand Quartier général des puissances alliées en Europe (quartier général de l'OTAN) en Belgique, , ou encore l'ordre souverain de Malte.
vignette|droite|270px|Place Wuyi et immeubles modernes à Ningbo Ningbo (, parfois transcrit Ningpo ou Ning Po, en ancien portugais Liampo) est une ville portuaire située au nord-est de la province du Zhejiang en Chine. Elle a le statut de ville sous-provinciale. Situé au sud de la baie de Hangzhou, le port donne sur la mer de Chine orientale. La population atteint d'habitants en 2021, dont 68,3 % vivent en ville.
L'Occident ou la civilisation occidentale est une aire culturelle dont les définitions recouvrent généralement la majorité de l'Europe, l'Amérique septentrionale et l'Australasie dans sa définition la plus restrictive. Sa société contemporaine résulte de la civilisation gréco-romaine (philosophie, science et droit) et de la religion chrétienne (branches catholiques et protestantes). Son emploi actuel sous-entend également une distanciation avec soit le reste du monde, soit une ou plusieurs autres zones d'influences du monde comme le monde arabe, le monde chinois ou la sphère d'influence russe.