Phonemic orthographyA phonemic orthography is an orthography (system for writing a language) in which the graphemes (written symbols) correspond to the phonemes (significant spoken sounds) of the language. Natural languages rarely have perfectly phonemic orthographies; a high degree of grapheme–phoneme correspondence can be expected in orthographies based on alphabetic writing systems, but they differ in how complete this correspondence is.
ThaïLe thaï, plus anciennement appelé siamois ou thaï an un (autonyme : ภาษาไทย, phasa thai, ), est une langue du groupe taï de la famille des langues taï-kadaï. Il compte environ soixante millions de locuteurs. C'est la langue officielle de la Thaïlande et la langue de la littérature thaïlandaise. Le thaï appartient au groupe taï de la branche dite kam-taï de la famille des langues taï-kadaï. Certains linguistes cherchent à rapprocher la famille tai-kadai de celle des langues austronésiennes, en s'appuyant sur un fond de vocabulaire commun relatif à l'agriculture et à l'élevage.
Langue officielleUne langue officielle est une langue qui est spécifiquement désignée comme telle, dans la constitution ou les textes de loi d'un pays, d'un État ou d'une organisation quelconque. Elle s'impose à tous les services officiels de l'État (organes de gouvernement, administrations, tribunaux, registres publics, documents administratifs, etc.). Liste des langues officielles La moitié des pays du monde dispose d'une langue officielle. Certains d'entre eux ne connaissent qu'une seule langue officielle, tels la France et l'Allemagne.
Trait d'unionLe trait d'union « - » est un signe de ponctuation utilisé pour joindre des mots, ou les prénoms d'un acte de naissance et pour séparer les syllabes d'un même mot. Il est distinct du tiret et du signe moins. Il peut être considéré, pour ce qui concerne son codage ou son apparence, comme un tiret court. Il est parfois nommé (plus ou moins justement) : tiret, signe moins, voire, selon les typographes division, tiret quart de cadratin.
Macron (diacritique)Le macron est un diacritique de plusieurs alphabets : latin, grec et cyrillique. Il prend la forme d’une barre horizontale que l’on place le plus souvent au-dessus (suscrit) d’une voyelle. Son principal rôle est d’indiquer que le signe qui le porte reçoit une quantité vocalique longue. La voyelle longue ainsi constituée se différencie de la lettre écrite sans signe particulier considérée comme brève. Signe diacritique suscrit : .
BengaliLe bengali ou bangla (bn, ) est une langue indo-iranienne (sous-branche indo-aryenne) de la famille des langues indo-européennes. Avec l'assamais, il s'agit de la plus orientale des langues indo-européennes.
Langue écritethumb|right|Exemples de fontes de caractères employées pour noter différentes langues, par William Caslon, fondeur-typographe, dans la Cyclopaedia (1728). Une langue écrite est une langue dotée d'une représentation au moyen d’un système d’écriture. La langue écrite est une invention (technique) dans la mesure où elle doit être enseignée aux enfants ; les enfants apprendront la langue parlée (langue orale ou langue des signes) en y étant exposés et sans vraiment qu’on la leur ait apprise.
Transcription (linguistique)La transcription, au sens linguistique, est la représentation systématique du langage sous forme écrite. Certains linguistes considèrent que la seule base de la transcription doit être l’énoncé, même si des textes déjà existants dans un autre système d’écriture peuvent également servir de support.
N (lettre)N est la et la consonne de l'alphabet latin. centré|vignette|600x600px|Formes majuscules et minuscules manuscrites de la lettre N dans le Dictionnaire des abréviations latines et française d’Alphonse Chassant. N est un nom féminin quand on prononce cette lettre èn' et masculin quand on la prononce ne. Toutefois, en France, èn' semble être la prononciation la plus en usage et la quasi-totalité de la population considère ce nom ainsi prononcé comme masculin, la plupart des dictionnaires faisant peu à peu de même, sauf le Littré.
KatakanaLes sont un des deux syllabaires utilisés en japonais. Comme les hiraganas les katakanas sont des signes correspondant à des mores (i, ro, ha, ni, ho, he, to, ka, ki, ku, ke, ko, etc.). Ils sont utilisés dans le système d'écriture japonais pour transcrire les mots d'origine étrangère autres que le chinois, les noms propres étrangers (patronymes, toponymes), les noms savants normalisés ou standardisés (日本の学名 ou 和名), des espèces biologiques (animaux, végétaux, champignons et algues) et les onomatopées japonaises.