An astronomical object, celestial object, stellar object or heavenly body is a naturally occurring physical entity, association, or structure that exists within the observable universe. In astronomy, the terms object and body are often used interchangeably. However, an astronomical body or celestial body is a single, tightly bound, contiguous entity, while an astronomical or celestial object is a complex, less cohesively bound structure, which may consist of multiple bodies or even other objects with substructures.
Un lobe de Roche est une surface équipotentielle de Roche. Elle est tracée dans un repère tournant lié à deux corps célestes orbitant à vitesse constante sur des trajectoires circulaires. Le potentiel de Roche tient compte à la fois de la force de gravitation et de la force centrifuge. Par extension, l'équipotentielle particulière pour laquelle la force est nulle est aussi appelée lobe de Roche. Les lobes de Roche sont ainsi désignés en l'honneur de l'astronome et mathématicien français Édouard Roche qui introduisit cette notion en 1873.
250px|vignette|Vue d'artiste de , une étoile binaire en phase d'enveloppe commune, surnommée l'étoile-cacahuète. Une binaire à enveloppe commune () est une étoile binaire dont les deux composantes sont immergées dans une enveloppe circumstellaire de gaz qui leur est commune. Tout système binaire serré (close binary) dont une des composantes est une naine blanche, une étoile à neutrons ou un trou noir stellaire, est passé par la phase d'enveloppe commune et forme une binaire postérieure à la phase d'enveloppe commune (post-common envelope binary).
L’accrétion est, en astrophysique, en géologie, en médecine et en météorologie, la constitution et l'accroissement d'un corps, d'une structure ou d'un objet, par apport et/ou agglomération de matière, généralement en surface ou en périphérie de celui-ci. L'accrétion désigne la capture de matière par un astre sous l'effet de la gravitation. L'accrétion a lieu dans de nombreux contextes astrophysiques, lorsqu'un objet compact est situé dans un environnement de matière diffuse, notamment : les étoiles en formation ; les planètes en formation ; les novae ; les trous noirs, en particulier dans les noyaux actifs de galaxies.
L'astronomie des phénomènes transitoire (nommée en anglais time domain astronomy), ou étude des phénomènes transitoires, est la branche de l'astronomie qui s'intéresse au changement des objets astronomiques au cours du temps. Ce changement peut être dû à un mouvement (rotation, révolution, etc.) ou à un changement intrinsèque de l'objet. Les objets et phénomènes étudiés incluent les supernovas, les étoiles éruptives, les sursauts gamma, les blazars et les noyaux actifs de galaxies. Selon les phénomènes étu
Carbon detonation or carbon deflagration is the violent reignition of thermonuclear fusion in a white dwarf star that was previously slowly cooling. It involves a runaway thermonuclear process which spreads through the white dwarf in a matter of seconds, producing a type Ia supernova which releases an immense amount of energy as the star is blown apart. The carbon detonation/deflagration process leads to a supernova by a different route than the better known type II (core-collapse) supernova (the type II is caused by the cataclysmic explosion of the outer layers of a massive star as its core implodes).
En astronomie, la recherche des exoplanètes fait appel à plusieurs méthodes de détection. La majorité de ces méthodes sont à l'heure actuelle indirectes, puisque la proximité de ces planètes avec leur étoile est si grande que leur lumière est complètement noyée dans celle de l'étoile. Méthode des vitesses radiales La méthode des vitesses radiales est la méthode qui a permis aux astronomes suisses Michel Mayor et Didier Queloz de détecter la première exoplanète autour de l'étoile 51 Peg.
Un disque d'accrétion est une structure astrophysique formée par de la matière en orbite autour d'un objet céleste central. Ce corps central est typiquement une jeune étoile, une proto-étoile, une naine blanche, une étoile à neutrons ou un trou noir. La forme de la structure est engendrée par l'action de la force gravitationnelle, attirant le matériel vers le corps central, les différentes vitesses initiales des particules, qui entraînent le matériel en forme de disque, et la dissipation d'énergie en son sein par viscosité, entraînant le matériel en spirale vers l'organe central.
En astronomie, on appelle courbe de lumière l'évolution de la luminosité d'un objet en fonction du temps. Une courbe de lumière peut être périodique (comme pour celle d'une binaire à éclipses, ou d'une céphéide), ou apériodique (comme pour celle d'une nova, d'une variable cataclysmique ou d'une supernova). L'étude d'une courbe de lumière permet de mieux connaître les phénomènes physiques qui créent la variation, ou de contraindre fortement les modèles expliquant ces variations.
En physique, une onde gravitationnelle, appelée parfois onde de gravitation, est une oscillation de la courbure de l'espace-temps qui se propage à grande distance de son point de formation. Albert Einstein a prédit l'existence des ondes gravitationnelles en : selon sa théorie de la relativité générale qu’il venait de publier, de même que les ondes électromagnétiques (lumière, ondes radio, rayons X, etc.) sont produites par les particules chargées accélérées, les ondes gravitationnelles seraient produites par des masses accélérées et se propageraient à la vitesse de la lumière dans le vide.