Le Laboratoire de mécanique de Lille regroupait les équipes de recherche en mécanique et génie civil du centre de Lille d'Arts et Métiers ParisTech, de l'École centrale de Lille et de l'Université de Lille. Il a été créé en 1985.
Le laboratoire regroupait plus de 200 personnes.
Cette unité de recherche a disparu fin 2017 et a donné naissance à trois nouveaux laboratoires :
LaMcube : Laboratoire de mécanique, multiphysique, multiéchelle, UMR CNRS 9013
LMFL : Laboratoire de mécanique des fluides de Lille - Kampé de Fériet, UMR CNRS 9014
UML : Unité de Mécanique de Lille - J. Boussinesq (UML) EA 7512
L'enseignement supérieur en mécanique et en génie civil constitue une tradition plus que centenaire à Lille.
L'université conserve des cours de professeurs de mécanique des milieux continus (fluides, turbulence, mécanique des sols), tels que Joseph Boussinesq et Alfred-Aimé Flamant, remontant aux années 1870, soit une vingtaine d'années après la création de la faculté des sciences de Lille. L'enseignement pour ingénieurs et la recherche se sont étendus avec l'expansion de l'Institut industriel du Nord fin du , puis la constitution du centre lillois des Arts et métiers au début du .
Associé à l'École doctorale des sciences pour l'ingénieur (ED-SPI 72), le laboratoire de mécanique de Lille est le plus gros laboratoire de recherche technologique de la région lilloise avec plus de deux cents chercheurs dans trois domaines non corrélés :
Fiabilité mécanique
Comportement, fatigue, endommagement, rupture, tribologie : applications industrielles
Étude des systèmes de freinage : applications privilégiées aux systèmes ferroviaires
Mécanique des fluides
Environnement et diphasiques
Modélisation de la turbulence
Turbomachines
Interactions entre fluide et structure
Génie civil
Interaction sol-structure
Mécanique des géomatériaux cohérents.
Le laboratoire dispose d'équipements lourds pour mener à bien ses recherches dans chacun de ses domaines. Une soufflerie de permet l'étude des couches limites des écoulements.
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Le présent projet a pour but final de répondre à la question de l’intégration du système de transmission de l’avion dans le modèle multiphysique complet en cours d’établissement (le système de transmission comprend un arbre et le guidage).
Comment valoriser l'énergie de freinage sur les véhicules électriques et hibrydes ? Un laboratoire de l'EPFL poursuit des travaux prometteurs sur de nouveaux systèmes de stockage d'énergie embariqués. A commencer par le supercondensateur, qui suscite le plus vif intérêt auprès de tous ceux qui se préoccupent de la conservation de l'énergie électrique.