Langues coréaniquesLes langues coréaniques (en , hangug-eo), plus rarement appelées langues puyŏ-han, constituent une famille de langues. Elle regroupe plusieurs langues ayant été parlées dans la péninsule de Corée. Les seules langues encore vivantes de cette famille sont le coréen, le jeju et le yukjin, parfois considérés comme des dialectes du coréen ; pour cette raison le coréen est parfois considéré comme un isolat. L’appartenance des langues coréaniques à la famille controversée des langues altaïques n’est pas acceptée par la majorité des linguistes.
Période Yamatovignette|Province de Yamato La désigne la période de l'histoire du Japon où une structure politique et sociale avec un souverain à sa tête se met en place dans la province de Yamato, autour de Nara, vers 250. Cette période peut être divisée en deux sous-périodes, sur la base de la chronologie de l'arrivée du bouddhisme dans l'archipel : La , du nom des kofun, tertres funéraires typiques de l'époque qui constituent l'une des principales sources de documentation sur cette période. La , qui voit l'introduction du bouddhisme.
GeunchogoGeunchogo of Baekje, Chogo II of Baekje (324–375, r. 346–375) was the 13th king of Baekje, one of the Three Kingdoms of Korea. He reigned over the apex of Baekje's powers. Geunchogo was the fourth son of the 11th king Biryu and became king upon the death of the 12th king Gye. His reign seems to have marked the permanent ascendancy of the descendants of the 5th king Chogo (reflected in Geunchogo's name) over those of the 8th king Goi, and ended the alternating kingship of the two lines.
JinhanJinhan (진한, 辰韓) était une confédération de 12 petits États qui a existé du avant l'ère commune (AEC) jusqu'au de l'ère commune (EC) et qui était centrée sur le bassin du Naktong dans le sud-est de la Corée. Descendant apparemment de la fédération des Jin, Jinhan était l'un des « Trois Han » (Samhan) avec Byeonhan et Mahan et était bordé au Nord par le territoire des Dongye. Jinhan a finalement été absorbé par le royaume de Silla qui formait, à l'origine, un des États de la confédération, sous le nom de Saro.
Tang TaizongL'empereur Tang Taizong (; v. 600 - ), né Li Shimin (李世民, Lĭ Shìmín) fut le deuxième empereur de la dynastie Tang de Chine. Il régna de 626 à 649. Second fils du premier empereur Li Yuan, il est considéré comme le cofondateur de la dynastie par l'appui militaire essentiel qu'il apporta à son père dans la conquête du trône avant de provoquer son abdication et de le remplacer à en prenant le nom de Tang Taizong.
KojikiLe est un recueil de mythes concernant l’origine des îles formant le Japon et des kamis, divinités du shintoïsme. Avec le Nihon shoki, les légendes contenues dans le Kojiki ont inspiré beaucoup de pratiques et de croyances du shintoïsme. Il est généralement considéré comme le plus ancien écrit japonais existant encore de nos jours et est entièrement écrit en langue japonaise, en caractères chinois. vignette|Édition française du Kojiki. Le Kojiki est une compilation des récits du conteur Hieda no Are par le chroniqueur Ō no Yasumaro, sur l’ordre de l’impératrice Genmei.
MaranantaMarananta est un moine bouddhiste du Gandhara, dans le Pakistan actuel, qui a introduit le bouddhisme dans le sud de la péninsule coréenne au , notamment dans le royaume de Paekche. Il a été parmi les premiers à introduire le bouddhisme dans la péninsule coréenne. Le Samguk Yusa (Gestes mémorables des trois royaumes) le présente comme celui qui a apporté le bouddhisme à Paekche, en parallèle à Sundo au Koguryo et à Ado à Silla. Marananta est venu à Paekche en passant par la Chine des Jin dans le neuvième mois lunaire de 384, l'année du couronnement du roi Chimnyu.
Système Kolp'umThe bone-rank system was the system of aristocratic rank used in the ancient Korean kingdom of Silla. It was used to segregate society, and particularly the layers of the aristocracy, on the basis of their hereditary proximity to the throne and the level of authority they were permitted to wield. The idea of royal blood in other societies is a close analogue to the idea of "sacred bone" in Silla thought. Bone rank was strictly hereditary, and thus acted as a caste system. The scholar, Lee Ki-baik (1984, p.
Nihon shokiLe , aussi appelé et achevé en 720, a été rédigé par le prince Toneri, Ō no Yasumaro ainsi que d’autres historiens de l’époque, et dédicacé à l'impératrice Genshō. Le Nihon shoki, écrit en pur chinois, constitue l’une des rares sources officielles écrites sur l’histoire des origines du Japon après le Kojiki. Tous deux décrivent l’origine divine de la famille impériale japonaise. Comparé au Kojiki qui est plus ancien, le Nihon shoki est plus élaboré et est une source inestimable pour les historiens car il comporte des informations très complètes à propos de l’histoire ancienne du Japon.