vignette|upright=1.3|Croissance réelle du PIB en 2009. Les pays en marron sont en récession.
La crise économique mondiale de 2008, quelquefois appelée dans le monde anglophone Grande Récession (Great Recession, en référence à la Grande Dépression de 1929), est une récession dans laquelle sont entrés la plupart des pays industrialisés du monde, mis à part le Brésil, la Chine et l'Inde, à la suite du krach de l'automne 2008, lui-même consécutif de la crise des subprimes de 2006-2007. Les États-Unis ont été les premiers à entrer en récession, en décembre 2007, suivis par plusieurs pays européens au cours de l'année 2008, ainsi que la zone euro dans son ensemble. La France n'entre comptablement en récession qu'en janvier 2009. Cette crise économique mondiale est considérée comme la pire depuis la Grande Dépression.
Cette crise est marquée par une forte hausse des prix du pétrole et des produits agricoles. La montée exorbitante des prix des actifs et celle associée de la demande sont considérées comme la conséquence d'une période de crédit facile, de dérégulations et de supervisions inadéquates ou d'inégalités croissantes. Avec la baisse des actions et des prix des maisons, de grandes banques américaines et européennes ont perdu beaucoup d'argent. En dépit des aides massives accordées par les États pour pallier les menaces de faillite et de crise bancaire systémique, il en a résulté une récession mondiale qui a conduit à un ralentissement du commerce international, à une hausse du chômage et à une baisse des prix des produits de base.
À partir de 2009, la plupart des pays ont dans un premier temps opté pour des politiques de relance. Début 2010, si la plupart semblaient sortir de la récession, le FMI restait prudent. En effet, la récession laissait alors place à une croissance lente voire une stagnation économique, les plans de sauvetage et de relance ont fait exploser les dettes publiques, le chômage continuait d'augmenter, d'importants déséquilibres dans les balances des transactions courantes demeuraient, et des risques d'éclatement de nouvelles bulles financières étaient toujours à craindre.
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At the micro-economic level, deleveraging refers to the reduction of the leverage ratio, or the percentage of debt in the balance sheet of a single economic entity, such as a household or a firm. It is the opposite of leveraging, which is the practice of borrowing money to acquire assets and multiply gains and losses. At the macro-economic level, deleveraging of an economy refers to the simultaneous reduction of debt levels in multiple sectors, including private sectors and the government sector.
« Exubérance irrationnelle » () est une expression utilisée par l'ancien responsable de la Fed Alan Greenspan, dans un discours donné devant l'American Enterprise Institute lors de la bulle internet des années 1990. Cette expression était une mise en garde contre une probable surévaluation du marché des actions. Le commentaire d'Alan Greenspan a été fait le : La présence de ce commentaire très court - jamais répété par Greenspan depuis - au milieu d'un discours complexe et technique n'aurait pas dû avoir un tel écho.
The 2000s commodities boom or the commodities super cycle was the rise of many physical commodity prices (such as those of food, oil, metals, chemicals and fuels) during the early 21st century (2000–2014), following the Great Commodities Depression of the 1980s and 1990s. The boom was largely due to the rising demand from emerging markets such as the BRIC countries, particularly China during the period from 1992 to 2013, as well as the result of concerns over long-term supply availability.
Examine les effets des dépenses publiques sur l'économie, les taux de change et la production, ainsi que les discussions sur les politiques fiscales et monétaires et une étude de cas sur le ralentissement économique aux États-Unis en 2001.
This article shows that the inability to use monetary policy for macroeconomic stabilization leaves a government more vulnerable to a rollover crisis. We study a sovereign default model with self-fulfilling rollover crises, foreign currency debt, and nomin ...
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This paper analyzes efficiency and profitability in the Swiss banking sector over the period 1997–2019. We find strong evidence for scale economies: for most banks in the sample, efficiency and profitability increase with bank size. Using an instrumental v ...