Le 6809 est un microprocesseur 8 bits (avec certaines caractéristiques 16 bits) de Motorola. Il fut introduit vers 1977–1978. Ce microprocesseur fut une avancée majeure par rapport à ses deux prédécesseurs, le 6800 de Motorola et son quasi-clone, le 6502 de MOS Technology. Parmi les systèmes à utiliser le 6809 on retrouve la gamme de micro-ordinateurs Thomson, le TRS-80 Color Computer, la console Vectrex, et des machines d'arcade du début des années 1980, ainsi que divers appareils tels que l'échantillonneur Fairlight CMI-III.
Le 6809 était, par son design, le premier microprocesseur pour lequel il était possible d'écrire du code indépendant de sa position en mémoire (adressage relatif), et complètement ré-entrant d'une manière simple, sans utiliser d'artifice de programmation. C'était aussi l'un des premiers microprocesseurs à implémenter une instruction matérielle de multiplication ; il dispose en outre d'une unité arithmétique de 16 bits complète et d'un système d'interruptions particulièrement rapide.
Parmi les améliorations significatives introduites par le 6809, on trouve une paire d'accumulateurs à 8 bits (A et B) qui pouvaient être combinés en un seul registre D de 16 bits. Il y avait aussi deux registres d'index à 16 bits (X et Y) et deux pointeurs de pile à 16 bits (S - système - et U - utilisateur). Les registres d'index et de pile permettaient des modes d'adressage très avancés. L'adressage relatif du compteur ordinal permettait de créer facilement du code indépendant de sa position en mémoire - voir Position independent code - alors que le pointeur de pile utilisateur facilitait l'écriture de code ré-entrant.
Par comparaison, le 6502 ne disposait que d'un seul accumulateur, de 2 registres d'index à 8 bits et d'un seul pointeur de pile à 8 bits.
Le 6809 était compatible avec le 6800 au niveau du code source, même si le 6800 avait 78 instructions et le 6809, seulement 59. Certaines instructions furent remplacées par d'autres qui étaient plus générales (l'assembleur se chargeait de les traduire) ; d'autres furent même remplacées par des modes d'adressage.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
vignette|Le MMN80CPU (clone du Zilog Z80), un processeur 8 bits En architecture des ordinateurs, les unités 8 bits d'entiers, d'adresses mémoire ou d'autres données sont celles qui ont une largeur de , c'est-à-dire . Aussi, les architectures 8 bits de processeurs et d'unités arithmétiques et logiques sont celles qui sont fondées sur des registres, des bus d'adresse, ou des bus de données de cette taille. « 8 bits » est aussi un terme donné à une génération de calculateurs dans lesquels les processeurs 8 bits étaient la norme.
Le 6809 est un microprocesseur 8 bits (avec certaines caractéristiques 16 bits) de Motorola. Il fut introduit vers 1977–1978. Ce microprocesseur fut une avancée majeure par rapport à ses deux prédécesseurs, le 6800 de Motorola et son quasi-clone, le 6502 de MOS Technology. Parmi les systèmes à utiliser le 6809 on retrouve la gamme de micro-ordinateurs Thomson, le TRS-80 Color Computer, la console Vectrex, et des machines d'arcade du début des années 1980, ainsi que divers appareils tels que l'échantillonneur Fairlight CMI-III.
vignette|Enfants jouant sur un ordinateur Amstrad CPC464. Un ordinateur domestique était un type de micro-ordinateur qui est apparu en 1977 est qui est devenu courant dans les années 1980. L'ordinateur domestique était commercialisé auprès des consommateurs comme un ordinateur abordable et accessible qui, pour la première fois, était destiné à l'usage d'un seul utilisateur non technique. Ces ordinateurs constituaient un segment de marché distinct et coûtaient généralement beaucoup moins cher que les ordinateurs commerciaux, scientifiques ou d'ingénierie de l'époque, tels que ceux fonctionnant sur CP/M ou le PC IBM.
Couvre les outils de science des données, Hadoop, Spark, les écosystèmes des lacs de données, le théorème CAP, le traitement par lots vs. flux, HDFS, Hive, Parquet, ORC, et l'architecture MapReduce.