Un phénomène lunaire transitoire (PLT), également appelé phénomène transitoire lunaire (PTL) ou en anglais en (LTP), terme créé en 1968 par l'astronome Patrick Moore, consiste en l'apparition d'une lumière ou d'une modification d'aspect de la surface lunaire pendant une courte durée.
Des signalements de tels phénomènes remontent à plus de mille ans, certains d'entre eux ayant fait l'objet d'observations indépendantes de multiples témoins ou de scientifiques de bonne réputation. Historiquement, le premier PLT observé par cinq moines de la cathédrale de Canterbury est un flash lumineux qui se produit le et est à l'origine du cratère Giordano Bruno. Cependant, la majorité des rapports de PLT ne sont pas reproductibles et ne s'accompagnent pas des témoignages vérifiables adéquats permettant d'établir un distinguo entre différentes hypothèses envisageables. Par surcroît, peu de ces phénomènes ayant fait l'objet de publications dans des revues scientifiques à comité de lecture, la communauté des chercheurs s'intéressant à la Lune évoque rarement ces observations. Ainsi, seuls 2 % des rapports d'observation (53 sur ) rédigés entre les et 2010 sont considérés comme de véritables PLT.
Si les PLT se produisent sur la Lune, leur origine a été attribuée en 1945 par Hugh Percy Wilkins, un astronome amateur gallois, à l'activité solaire. Les hypothèses privilégiées aujourd'hui sont le dégazage le long de fissures lunaires, la formation de décharges électriques au sein de ces gaz (par effet triboélectrique) ou les impacts qui se produisent sur des échelles de temps géologiques. La plupart des scientifiques qui étudient la Lune admettent que des phénomènes transitoires de dégazage ou d'impacts se produisent sur des échelles de temps géologiques ; la discorde apparaît sur les fréquences de ces événements.
Les PLT signalés varient depuis les nappes de brume jusqu'aux changements permanents d'aspect de la surface lunaire.
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