MahakavyaMahākāvya (lit. great kāvya, court epic), also known as sargabandha, is a genre of Indian epic poetry in Classical Sanskrit. The genre is characterised by ornate and elaborate descriptions of scenery, love, battles and so on — in short, everything that tests a poet's skill at description. Typical examples of mahākāvya are the Kumarasambhava and the Kiratarjuniya. It is considered the most prestigious form in the Sanskrit literature. The genre evolved from the earlier epics, the Mahabharata and the Ramayana.
Littérature sanskritevignette|upright=2|L'un des plus vieux manuscrits connus d'un texte en sanskrit, en . Le , Bihar ou Népal, . L'histoire de la littérature sanskrite débute avec la transmission orale des Vedas au milieu du , et se poursuit à travers la tradition orale des grandes épopées. L'âge d'or de la littérature classique en sanskrit se situe dans l'Antiquité tardive, du au . Les textes les plus tardifs sont datés du . La littérature sanskrite disparaît avec la conquête musulmane de l'Inde, en particulier à cause de la destruction de centres intellectuels, tels que les universités de Taxila et Nalanda.
Indian epic poetryIndian epic poetry is the epic poetry written in the Indian subcontinent, traditionally called Kavya (or Kāvya; Sanskrit: काव्य, IAST: kāvyá). The Ramayana and the Mahabharata, which were originally composed in Sanskrit and later translated into many other Indian languages, and the Five Great Epics of Tamil literature and Sangam literature are some of the oldest surviving epic poems ever written. In modern Hindi literature, Kamayani by Jaishankar Prasad has attained the status of an epic.
Itihâsavignette|Mahabharata. Itihāsa (devanāgarī : इतिहास) est le nom donné dans plusieurs langues indiennes aux textes historiques. En sanskrit, le terme désigne plus particulièrement les deux grandes épopées de l'hindouisme, le Mahābhārata et le Râmâyana. Il est composé de iti (ceci), - ha (en effet, ainsi) et - asa (fut), ce qui peut se traduire par « il en fut ainsi ». D'autres textes sont parfois inclus dans cette catégorie, par exemple les Purāṇa, considérés soit comme des itihâsa, soit comme des « chroniques anciennes », antérieures aux épopées.