La campagne de Russie, également connue en Russie comme la guerre patriotique de 1812, est une campagne militaire menée par l’empereur Napoléon désignant l'invasion française de la Russie impériale en 1812. Elle a pour principale cause la levée par Alexandre de Russie du blocus continental imposé par Napoléon à toute l'Europe depuis 1806, contre le Royaume-Uni.
Jusqu’à la prise de Moscou, face à une armée impériale russe inférieure en nombre au début de l’invasion, l’avantage est aux forces napoléoniennes. Mais le prince russe Mikhaïl Koutouzov, général en chef, relève le moral de son armée et l’encourage à mener une contre-offensive, en organisant le harcèlement de la Grande Armée lors de la retraite française. C'est ainsi que les maladies, l’hiver, mais aussi les soldats et la population russes, sont responsables de la défaite de Napoléon en Russie.
Les guerres napoléoniennes ont profondément marqué la culture russe. La campagne de Russie a été relatée par Léon Tolstoï dans son célèbre roman historique Guerre et Paix, ainsi qu’évoquée par Piotr Ilitch Tchaïkovski dans son Ouverture 1812. Durant la Seconde Guerre mondiale, l’invasion allemande de l’Union soviétique a été mise en parallèle avec la campagne de Russie.
Au moment de la campagne, Napoléon était au sommet de son règne avec toutes les nations d’Europe continentale sous son contrôle (à l'exception notable de la péninsule Ibérique), ou sous le contrôle de nations vaincues par son empire et évoluant sous des traités favorables à la France. En 1807, le traité de Tilsit règle la paix entre l’Empire et la Russie. Alexandre espérait à travers le général Caulaincourt un traité interdisant le rétablissement de la Pologne. Napoléon désavoua Caulaincourt, et marqua alors la rupture de confiance avec Alexandre. Ainsi, le traité de paix avec l’Autriche de 1809 contint une clause annexant la Galicie au profit du grand-duché de Varsovie. La Russie considérait cette clause comme allant à l’encontre de ses intérêts et la Pologne comme le point de départ d’une éventuelle invasion de son territoire.
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vignette|300x300px|Les trois partitions de la République des Deux Nations. La partition russe (rouge), la partition autrichienne (verte) et la partition prussienne (bleue). La partition russe (parfois appelée Pologne russe) constituait les anciens territoires de la République des Deux Nations annexés par l'empire russe au cours des partitions de la Pologne à la fin du . L'acquisition russe englobait la plus grande partie de la population polonaise, vivant sur de terres constituant le territoire oriental et central de l'ancienne république.
Viazma (en Вя́зьма) est une ville de l'oblast de Smolensk, en Russie, et le centre administratif du raïon de Viazma. Sa population s'élevait à en 2014. Viazma est arrosée par la rivière Viazma et se trouve à mi-chemin entre les villes de Smolensk et de Mojaïsk. vignette|gauche|Monument commémoratif de la victoire russe contre les troupes françaises de Napoléon I Bataille de Viazma Viazma fut le théâtre d'une bataille lors de l'invasion française de la Russie en 1812.
La bataille de la Moskova, bataille de la Moskowa ou bataille de Borodino (en Бородинское сражение, Borodinskoïé srajénié) est une bataille opposant la Grande Armée commandée par à l’armée impériale russe menée par le Feldmarschall Mikhaïl Koutouzov. Elle a lieu le (26 août a.s.) à proximité du village de Borodino, à de Moscou. Le nom de Moskova, plus évocateur que celui de Borodino, est choisi par Napoléon pour désigner cette bataille, et fait référence à la rivière qui coule à plusieurs kilomètres du champ de bataille et non au lieu où se déroulèrent les combats.
Explorer l'interprétation des modèles de régression logistique, l'estimation des paramètres et la comparaison des modèles à l'aide de tests de rapport de probabilité.
In addition to being observable, systems composed of interconnected subsystems must typically exhibit a particular subsystem structure, if their state is to be estimated successfully by a partition-based moving horizon estimator (PMHE). Suitable subsystem ...