Japanese sword mountings are the various housings and associated fittings () that hold the blade of a Japanese sword when it is being worn or stored. 拵え refers to the ornate mountings of a Japanese sword (e.g. katana) used when the sword blade is being worn by its owner, whereas the is a plain undecorated wooden mounting composed of a and that the sword blade is stored in when not being used.
Fuchi: The is a hilt collar between the and the .
Habaki: The is a wedge-shaped metal collar used to keep the sword from falling out of the and to support the fittings below; fitted at the ha-machi and mune-machi which precede the .
Kaeshizuno: a hook shaped fitting used to lock the saya to the obi while drawing.
Kashira: The kashira is a butt cap (or pommel) on the end of the tsuka.
Kōgai: The is a spike for hair arranging carried sometimes as part of katana-koshirae in another pocket.
Koiguchi: The is the mouth of the saya or its fitting; traditionally made of buffalo horn.
Kojiri: The is the end of the saya or the protective fitting at the end of the saya; also traditionally made of buffalo horn.
Kozuka: The is a decorative handle fitting for the kogatana; a small utility knife fit into a pocket on the saya.
Kurigata: The is a knob on the side of the saya for attaching the sageo.
Mekugi: The is a small peg for securing the tsuka to the nakago.
Menuki: The are ornaments on the tsuka (generally under the tsuka-ito); Originally menuki were a cover for the mekugi to hold the peg/s in place. On Tachi worn edge down orientation at palm to orient the sword. On Katana orientation is at fingertips to orient the sword.
Mekugi-ana: The are the holes in the tsuka and nakago for the mekugi.
Sageo: The is the cord used to tie saya to the belt/obi when worn.
Same-hada: literally the pattern of the ray skin.
Same-kawa (samegawa): is the ray or shark skin wrapping of the tsuka (handle/hilt).
Saya: The is a wooden scabbard for the blade; traditionally done in lacquered wood.
Seppa: The are washers above and below the tsuba to tighten the fittings.
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vignette|redresse=1.3|Daishō (paire de sabres traditionnels portée par les samouraïs) détenu par le clan Uesugi (fin de la période Edo). Le est un sabre (arme blanche courbe à un seul tranchant) de plus de . Par extension, le terme katana sert souvent à désigner l'ensemble des sabres japonais (tachi, uchigatana, etc.). Symbole de la caste des samouraïs, le katana est une arme de taille (dont on utilise le tranchant) et d'estoc (dont on utilise la pointe) à deux mains.
vignette|Dessin du ninja archétypal, à partir d'une série de croquis (Hokusai manga) par Hokusai (1817). est un terme japonais moderne () servant à désigner une certaine catégorie d'espions ou de mercenaires, actifs jusqu'à la période d'Edo (), traditionnellement appelés . Les fonctions du ninja comprenaient l'espionnage, le sabotage, l'infiltration, l'assassinat et la guérilla. Leurs méthodes cachées de guerre non conventionnelles ont été jugées déshonorantes pour la caste de samouraï qui observait des règles strictes concernant l'honneur et le combat mais, pour autant, qui ne rechignait pas à acheter leur service contre leurs rivaux.
L’ est un art martial d'origine japonaise basé sur l'action de dégainer le sabre et de frapper (de taille ou d'estoc) en un seul geste. Plus exactement, le but est d'exécuter une technique, avant l'adversaire, choisie en fonction du lieu et du contexte de la situation. Tout comme pour les autres budō, cette discipline se focalise principalement sur la perfection des mouvements et la démarche spirituelle (influence du zen), l'efficacité technique, quant à elle, devient de plus en plus importante au fur et à mesure que le pratiquant augmente en grade.