Habitability of red dwarf systemsThe theorized habitability of red dwarf systems is determined by a large number of factors. Modern evidence indicates that planets in red dwarf systems are unlikely to be habitable, due to their low stellar flux, high probability of tidal locking and thus likely lack of magnetospheres and atmospheres, small circumstellar habitable zones and the high stellar variation experienced by planets of red dwarf stars, impeding their planetary habitability.
Tholinredresse=1.25|vignette|Les tholins seraient responsables de la couleur rougeâtre, orangée voire rosée observée sur certains terrains de satellites de planètes géantes (ici, Triton, satellite de Neptune), de planètes naines et les petits corps du Système solaire. Le 'tholin' (du grec ancien / tholós, « encre de seiche », en référence à l'aspect et à la couleur), ou parfois la tholine, est une substance organique plus ou moins azotée de masse moléculaire élevée (environ ), de couleur rouge brun parfois violacée (sépia) et de structure mal connue, produite en laboratoire lors d'expériences de Miller-Urey et qui serait présente à la surface de nombreux objets du Système solaire externe, voire au-delà.
Habitability of natural satellitesThe habitability of natural satellites describes the study of a moon's potential to provide habitats for life, though is not an indicator that it harbors it. Natural satellites are expected to outnumber planets by a large margin and the study is therefore important to astrobiology and the search for extraterrestrial life. There are, nevertheless, significant environmental variables specific to moons. It is projected that parameters for surface habitats will be comparable to those of planets like Earth - stellar properties, orbit, planetary mass, atmosphere and geology.
Jumelle de la Terrevignette|Vue d’artiste représentant Kepler-186 f, une exoplanète qualifiée de Terre jumelle. alt=La Terre |vignette|La planète Terre vue depuis Apollo 17. Une planète analogue à la Terre ou analogue terrestre (en anglais Earth analog), (planète) jumelle de la Terre (Earth Twin), Terre jumelle (Twin Earth), seconde (ou deuxième) Terre (Second Earth), Terre extrasolaire ou exo-Terre (Alien Earth), ou , ou encore planète (de type) terrestre (Earth-like planet ; distincte de planète tellurique, terrestrial planet en anglais), est une planète ayant des caractéristiques et des conditions semblables à celle de la planète Terre.
Planète-océanvignette|300px|droite|Vue d'artiste d'une planète-océan. Une planète-océan est un type hypothétique de planète qui serait intégralement recouverte d'un océan, d'eau ou éventuellement d'autres composés volatils, d'une profondeur variable mais pouvant être de plusieurs dizaines de kilomètres. Initialement proposé par David J. Stevenson de l'Institut californien de technologie, ce modèle a été approfondi par l'équipe de Christophe Sotin de l'université de Nantes.
Planetary oceanographyPlanetary oceanography also called astro-oceanography or exo-oceanography is the study of oceans on planets and moons other than Earth. Unlike other planetary sciences like astrobiology, astrochemistry and planetary geology, it only began after the discovery of underground oceans in Saturn's moon Titan and Jupiter's moon Europa. This field remains speculative until further missions reach the oceans beneath the rock or ice layer of the moons.
Géologie planétairevignette|L’astronaute-géologue de la NASA, Harrison Schmitt, en train de collecter des échantillons lors de la mission Apollo 17. vignette|300px|Canyon de Valle Marineris, Mars (4500 km de large et 11 km de profondeur). La géologie planétaire, également appelée exogéologie ou astrogéologie, est une branche de la planétologie qui emprunte les outils et les raisonnements des géosciences (travail sur le terrain, méthodes de télédétection, expérimentations in situ ou en laboratoire, prélèvements d’échantillons, etc.
CosmochimieLa cosmochimie est une branche de la géochimie qui s’intéresse aux origines et à l’évolution des nucléides dans l'Univers et plus spécifiquement dans le Système solaire. Les spécialistes de cette discipline sont qualifiés de cosmochimistes. La cosmochimie se base sur l’application des techniques de chimie analytique, déjà employées en géochimie, à l’étude de météorites et de matériels extraterrestres échantillonnés sur la Lune (missions Apollo) ou plus récemment dans la queue d’une comète (mission Stardust).
Hypothèse Gaïathumb|alt=Vue d'artiste de la Terre et citation de Lovelock| — James Lovelock. L'hypothèse Gaïa, appelée également hypothèse biogéochimique, est une hypothèse controversée, initialement avancée en 1970 par le climatologue anglais James Lovelock en collaboration avec la microbiologiste américaine Lynn Margulis, mais également évoquée par d'autres scientifiques avant eux, selon laquelle la Terre serait . L'ensemble des êtres vivants sur Terre formerait ainsi un vaste superorganisme réalisant l'autorégulation de ses composants pour favoriser la vie.
Kepler-442 b(aussi connue par sa désignation KOI : KOI-4742.01) est une planète extrasolaire (exoplanète) confirmée en orbite autour de l'étoile . Elle a été détectée par le télescope spatial Kepler, et sa découverte, par la méthode des transits, a été confirmée en 2015. Kepler-442 b est une exoplanète, probablement rocheuse, orbitant dans la zone habitable de son étoile Kepler-442, de type spectral K (naine orange), située à environ -lumière de la Terre dans la constellation de la Lyre.