The database schema is the structure of a database described in a formal language supported typically by a relational database management system (RDBMS). The term "schema" refers to the organization of data as a blueprint of how the database is constructed (divided into database tables in the case of relational databases). The formal definition of a database schema is a set of formulas (sentences) called integrity constraints imposed on a database. These integrity constraints ensure compatibility between parts of the schema.
thumb|upright=1.2|Structure générale d'une base de données relationnelle. En informatique, une base de données relationnelle (en anglais: relational database management system (RDBMS)) est une base de données où l'information est organisée dans des tableaux à deux dimensions appelés des relations ou tables, selon le modèle introduit par Edgar F. Codd en 1960. Selon ce modèle relationnel, une base de données consiste en une ou plusieurs relations. Les lignes de ces relations sont appelées des nuplets ou enregistrements.
Une clé étrangère, dans une base de données relationnelle, est une contrainte qui garantit l'intégrité référentielle entre deux tables. Une clé étrangère identifie une colonne ou un ensemble de colonnes d'une table comme référençant une colonne ou un ensemble de colonnes d'une autre table (la table référencée). Les colonnes de la table référencée doivent faire partie d'une contrainte de clé primaire ou d'une contrainte d'unicité.
Database design is the organization of data according to a database model. The designer determines what data must be stored and how the data elements interrelate. With this information, they can begin to fit the data to the database model. A database management system manages the data accordingly. Database design involves classifying data and identifying interrelationships. This theoretical representation of the data is called an ontology. The ontology is the theory behind the database's design.
Dans le domaine des bases de données, une clé candidate est un ensemble des données permettant d'indexer chaque ligne d'une table donnée de manière différenciée. Une même base de données peut posséder plusieurs clés candidates distinctes. La clé primaire appartient nécessairement à l'ensemble des clés candidates. Une table sans lignes en doublon possède nécessairement une ou plusieurs clés candidates. Une table avec des lignes en doublon ne possède aucune clé candidate.
L'optimisation de requête est une opération dans laquelle plusieurs plans d'exécution d'une requête SQL sont examinés pour en sélectionner le meilleur. L'estimation de leurs coûts dépend du temps d'exécution et du nombre de ressources utilisées pour y parvenir, elle se mesure en entrées-sorties. Typiquement les ressources coûteuses sont l'utilisation du processeur, la taille et la durée des tampons sur le disque dur, et les connexions entre les unités du parallélisme.
In database theory, a relation, as originally defined by E. F. Codd, is a set of tuples (d1, d2, ..., dn), where each element dj is a member of Dj, a data domain. Codd's original definition notwithstanding, and contrary to the usual definition in mathematics, there is no ordering to the elements of the tuples of a relation. Instead, each element is termed an attribute value. An attribute is a name paired with a domain (nowadays more commonly referred to as a type or data type).
Une vue dans une base de données est une synthèse d'une requête d'interrogation de la base. On peut la voir comme une table virtuelle, définie par une requête. Les avantages des vues sont : d'éviter de taper une requête très longue : la vue sert à donner un nom à la requête pour l'utiliser souvent, de masquer certaines données à certains utilisateurs. En SQL, les protections d'une vue ne sont pas forcément les mêmes que celles des tables sous-jacentes. Les vues ne sont pas forcément purement virtuelles.
In relational algebra, a projection is a unary operation written as , where is a relation and are attribute names. Its result is defined as the set obtained when the components of the tuples in are restricted to the set – it discards (or excludes) the other attributes. In practical terms, if a relation is thought of as a table, then projection can be thought of as picking a subset of its columns. For example, if the attributes are (name, age), then projection of the relation {(Alice, 5), (Bob, 8)} onto attribute list (age) yields {5,8} – we have discarded the names, and only know what ages are present.
En informatique et plus particulièrement dans les bases de données relationnelles, la jointure ou appariement est l'opération permettant d’associer plusieurs tables ou vues de la base par le biais d’un lien logique de données entre les différentes tables ou vues, le lien étant vérifié par le biais d'un prédicat. Le résultat de l'opération est une nouvelle table. En SQL, une jointure est définie dans la clause FROM, en indiquant le mot clef JOIN pour chaque nouvelle table à joindre à l'une des précédentes et en spécifiant comment, dans un prédicat de jointure introduit par le mot clef ON.