Le drapeau de la Nouvelle-Zélande existe sous sa forme actuelle depuis 1869 et est devenu le drapeau officiel le 24 mars 1902. Il est basé sur le pavillon d'État britannique, le Blue Ensign. Sur un fond bleu foncé, le drapeau se divise en deux parties : le drapeau du Royaume-Uni, l’Union Jack se trouve dans le coin supérieur gauche. L’utilisation de l’Union Jack symbolise le lien avec le Royaume-Uni et l’affiliation de la Nouvelle-Zélande au Commonwealth la moitié droite du drapeau est dominée par quatre étoiles rouges à cinq branches liserées de blanc. Elles représentent la constellation de la Croix du Sud dont seulement quatre étoiles sur cinq sont visibles sur le drapeau de la Nouvelle-Zélande. La représentation de la Croix du Sud symbolise l’appartenance de la Nouvelle-Zélande à l’hémisphère sud. Il existe un débat depuis plusieurs décennies en Nouvelle-Zélande pour un changement de drapeau : le 29 octobre 2014, le gouvernement annonce que le changement de drapeau fera l'objet de plusieurs référendums qui se tiendront en 2015 et 2016. En mars 2016, lors du second volet du référendum, les Néo-Zélandais votent à 56,6 % pour conserver leur drapeau actuel. Comme l'Australie, la Nouvelle-Zélande a des pavillons dérivés de ceux du Royaume-Uni : Fichier:Civil Ensign of New Zealand.svg|Pavillon marchand de la Nouvelle-Zélande, un [[Red Ensign]] avec quatre étoiles blanches Fichier:Naval Ensign of New Zealand.svg|Royal New Zealand Navy Ensign, un [[White Ensign]] avec quatre étoiles rouges Fichier:Air Force Ensign of New Zealand.svg|Drapeau de la Royal New Zealand Air Force L’idée de représenter la Nouvelle-Zélande par un drapeau est apparue pour la première fois en 1830. Cette année-là, les services de la douane confisquèrent à Sydney le Sir George Murray, un bateau de commerce construit en en Nouvelle-Zélande qui n’avait pas de drapeau indiquant l’origine du bateau. À cette époque, l’Australie, le principal partenaire commercial de la Nouvelle-Zélande, applique la loi navale britannique qui impose à chaque bateau de posséder un certificat officiel indiquant le lieu de construction du bateau, le nom du propriétaire et la nationalité.