Greed (or avarice) is an insatiable desire for material gain (be it food, money, land, or animate/inanimate possessions); or social value, such as status, or power. Greed has been identified as undesirable throughout known human history because it creates behavior-conflict between personal and social goals.
The initial motivation for (or purpose of) greed and actions associated with it may be the promotion of personal or family survival. It may at the same time be an intent to deny or obstruct competitors from potential means (for basic survival and comfort) or future opportunities; therefore being insidious or tyrannical and having a negative connotation. Alternately, the purpose could be defense or counteractive response to such obstructions being threatened by others. But regardless of purpose, greed intends to create an inequity of access or distribution to community wealth.
Modern economic thought frequently distinguishes greed from self-interest, even in its earliest works, and spends considerable effort distinguishing the line between the two. By the mid-19th century – affected by the phenomenological ideas of Hegel – economic and political thinkers began to define greed inherent to the structure of society as a negative and inhibitor to the development of societies. Keynes wrote, "The world is not so governed from above that private and social interest always coincide. It is not so managed here below that in practice they coincide." Both views continue to pose fundamental questions in today's economic thinking.
Weber posited that the spirit of capitalism integrated a philosophy of avarice coloured with utilitarianism. Weber also says that, according to Protestant ethic, "Wealth is thus bad ethically only in so far as it is a temptation to idleness and sinful enjoyment of life, and its acquisition is bad only when it is with the purpose of later living merrily and without care."
As a secular psychological concept, greed is an inordinate desire to acquire or possess more than one needs.
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Le Purgatoire est la deuxième partie (cantica) de la Divine Comédie de Dante Alighieri. La première partie est l'Enfer et la troisième le Paradis. Le Purgatoire de Dante est divisé en 3 parties : , le Purgatoire et le Paradis terrestre. La structure morale du Purgatoire suit la classification thomiste des vices de l'amour mal orienté, et ne fait plus référence à des vices individuels. Il est divisé en sept cadres, dans lesquels ils se purgent des sept péchés capitaux : l'Orgueil, l'Envie, la Colère, l'Acédie (la Paresse), l'Avarice, la Gourmandise et la Luxure.
vignette|400px|Allégorie de la vertu, fresque de Raphaël, début , Chambre de la Signature, Vatican. Les sept vertus, aussi appelées vertus catholiques, sont codifiées dans la théologie scolastique chrétienne depuis le Moyen Âge. Elles comprennent trois vertus théologales (la foi, l'espérance et la charité) et quatre vertus cardinales (la justice, la prudence, la force et la tempérance). On les trouve initialement dans le judaïsme hellénisé et chez les Pères de l'Église.
vignette|upright|Fierté d'un motard tanzanien. Appartenant au même champ lexical que l’orgueil, la fierté a comme lui plusieurs définitions qui se recoupent d’ailleurs (les deux mots étant pratiquement interchangeables), et qui s'entendent selon le contexte. Il peut s'agir : du caractère de quelqu'un qui se croit supérieur aux autres ; morgue, arrogance, hauteur.