Communication de massethumb|Déclaration radiodiffusée du gouvernement canadien le , après l'entrée du Royaume-Uni dans la Seconde Guerre mondiale.(de g. à droite : C.G. Power, Ernest Lapointe, W.L. Mackenzie King, Norman Rogers) La communication de masse est l'ensemble des techniques qui permettent de mettre à la disposition d'un vaste public toutes sortes de messages. Selon le théoricien canadien de la communication Marshall McLuhan, elle concentre l'ensemble des techniques susceptibles de créer des prolongements du corps humain à l'ordinateur.
Communication non verbaleLa communication non verbale (ou langage du corps) désigne tout échange n'ayant pas recours à la parole. Elle ne repose pas sur les mots (pratiques linguistiques), mais sur plusieurs champs extralinguistiques correspondant à des signaux sociaux ou catégories fonctionnelles, objets d'études de différentes disciplines : communication para-verbale (communication vocale comprenant les traits prosodiques, les onomatopées, le rire, la toux, et parfois distinguée de la communication non verbale) analysée par la , gestes (mouvements du corps, gestuelle, actions et réactions) et expressions faciales (dont les micro-expressions) étudiés par la kinésique et la gestique, contact visuel et rôle du regard (clin d'œil complice, regard désapprobateur ou sceptique.
AffectUn affect est un état de l'esprit tel qu'une sensation, une émotion, un sentiment, une humeur (au sens technique d’état moral : déprime, optimisme, anxiété...). Tout état de ce type a un aspect bon ou mauvais (jugement) et ainsi nous influence ou nous motive. Il varie également en force, c'est-à-dire son incidence sur notre motivation à agir ou réagir, et donc sur la conation (effort, volonté). Ces états sont regroupés dans le domaine de l'affectivité, par opposition aux idées abstraites par exemple qui ne sont ressenties ni comme bonnes ni comme mauvaises.
LinguistiqueLa linguistique est une discipline scientifique s’intéressant à l’étude du langage. Elle n'est pas prescriptive mais descriptive. La prescription correspond à la norme, c'est-à-dire ce qui est jugé correct linguistiquement par les grammairiens. À l'inverse, la linguistique se contente de décrire la langue telle qu'elle est et non telle qu'elle devrait être. On trouve des témoignages de réflexions sur le langage dès l'Antiquité avec des philosophes comme Platon.