thumb|300px|right|Les Celtes en Europe, dans le passé et aujourd'hui :
La mythologie celtique est constitutive de la religion des Celtes de la Protohistoire/Antiquité. Nos connaissances sont lacunaires
Dès que l'on aborde le domaine celtique, que ce soit au niveau de la civilisation, du druidisme ou de la mythologie, on se trouve inévitablement confronté au problème des sources. Les druides (« dru-wid-es » signifie « très savants »), qui représentent la classe sacerdotale, ont systématiquement privilégié une transmission orale de leur savoir, induisant la mémorisation de milliers de vers. On retrouve régulièrement l'argument selon lequel la parole écrite est une parole morte ; peut-être était-ce aussi un moyen d'éviter que leurs idées soient détournées. Notons que les Celtes n'ignoraient pas l'écriture puisque nous possédons des inscriptions utilisant l'alphabet étrusque ou l'alphabet grec et qu'ils ont inventé un système particulier de notation : l'écriture oghamique.
Deux types de sources nous livrent des informations générales. Tout d’abord, leurs contemporains, parmi lesquels on peut citer, à titre d’exemple : Diodore de Sicile (Bibliothèque historique), Strabon (Géographie), Pomponius Mela (De Chorographia), Lucain (La Pharsale), Pline l'Ancien (Histoire naturelle), et surtout Jules César avec les Commentaires sur la Guerre des Gaules. Ces témoignages donnent souvent une image négative des peuples celtes, compte tenu des relations belliqueuses qu’ils entretenaient, et la méconnaissance de leurs voisins.
En ce qui concerne le domaine gaulois les sources dont on dispose sont très rares et très fragiles. Pour l'essentiel, nous ne savons à peu près rien du monde des dieux gaulois, même s'il est certain qu'ils aient eu une mythologie aussi élaborée que celle rapportée par les textes irlandais. Le peu que nous en sachions, nous le tenons de Lucain (Pharsale) et de César (Commentaires sur la Guerre des Gaules) principalement, de Pline et de Tertullien accessoirement.
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The concept of an otherworld in historical Indo-European religion is reconstructed in comparative mythology. Its name is a calque of orbis alius (Latin for "other Earth/world"), a term used by Lucan in his description of the Celtic Otherworld. Comparable religious, mythological or metaphysical concepts, such as a realm of supernatural beings and a realm of the dead, are found in cultures throughout the world. Spirits are thought to travel between worlds, or layers of existence in such traditions, usually along an axis such as a giant tree, a tent pole, a river, a rope or mountains.
vignette|Deux druides, d'après une illustration de Antiquitas explanatione et schematibus illustrata (Bernard de Montfaucon, 1719). Le druide est un chef religieux de la religion des Celtes. Membre de la classe supérieure dans les cultures celtiques antiques, c’est un personnage très important, au point qu’il est à la fois ministre du culte, théologien, philosophe, gardien du Savoir et de la Sagesse, historien, juriste et aussi conseiller militaire du roi et de la classe guerrière.
Gofannon est un dieu de la mythologie celtique galloise, il est le fils de la déesse Dôn. Son nom signifie forgeron, il est l'équivalent Gallois du dieu irlandais Goibniu ou du dieu romain Vulcain, relevant de la troisième fonction artisanale, selon l'idéologie tripartite des indo-européens définie par Georges Dumézil (voir aussi Tuatha Dé Danann, Classes et fonctions). Gofannon apparaît dans la Quatrième Branche du Mabinogi, lors de la mort de Dylan Eil Ton et dans un poème du « Livre de Taliesin » dans lequel il est cité en tant que magicien.
Explore les interprétations de la mythologie scandinave, les implications sociétales des mythes et la conversion au christianisme.
In 2018, the Santa Monica studio released a new God of War. Contrary to the previous games, its hero Kratos no longer plays in Greece but in Scandinavia with a new pantheon. In this article, we are interested in player’s mythology representations from thei ...