Marches

Les Marches (en italien le Marche ) sont une région d'Italie centrale dont le siège se situe sur les bords de l’Adriatique, dans la ville portuaire d'Ancône, et qui compte sur au . Elle est divisée en cinq provinces, celles d'Ancône, de Macerata, de Pesaro-Urbino, d'Ascoli Piceno et de Fermo, situées entre la chaîne des Apennins et la mer Adriatique. gauche|vignette|200x200px|Guerrier de capestrano, 600-550 av. J-C. Musée Archéologique National des Abruzzes, Chieti La première période d’unité culturelle des Marches a eu lieu à l’âge du fer, quand la région était habitée presque entièrement par les Picèniens. La propagation de la civilisation picène marque le passage de l’âge du bronze à celui du fer, ainsi que le passage à l’Histoire, avec l’introduction de l’écriture. Les témoignages laissés par cette civilisation sont très riches et fortement caractérisés, en particulier dans la sculpture, parfois de dimension monumentale, dans l’Art figuratif, par une imagination remarquable des figures produites et une tendance à l’abstraction, dans l’originalité des formes de la céramique, dans l’utilisation abondante de l’Ambre, dans la grande variété d’armes, dans les kits féminins voyants. La langue de la plupart des inscriptions est italique et dite Sud-picène; quatre inscriptions retrouvées atteste l’existence d'une énigmatique Langue de Novilara. Les Grecs fondent Ancône et s’établissent sur quelques territoires voisins au Grecs et romains ont alors des échanges commerciaux. Ancône est annexée par les Romains au et les Marches sont envahies par le peuple gaulois des Sénons qui fondent Senigallia. Il en demeure des vestiges en particulier à Fano et à Ancône. Ces derniers sont chassés par les Romains avec l'aide des Picéniens, qu'ils défont ensuite vers 300 vignette|centre|Fragment de cratère attique datant du (Pesaro).|alt= Après la chute de l'Empire romain d'Occident lors des migrations germaniques, se produit l'invasion des Ostrogoths.

Réversibilité d’usage. Valorisation de la plaine des Ecluses à Nendaz pour accueillir le sport en permanence, le marché et le logement temporairement

La réversibilité en architecture est cruciale : une nouvelle construction doit pouvoir changer aisément de fonction grâce à une conception anticipée, limitant les interventions majeures. Ce constat découle de ma recherche Penser réversible sur la matérialisation de ce concept au sein du Village des athlètes pour les JO de Paris 2024. De retour en Suisse, mon projet aborde la réversibilité à Nendaz, sur la plaine des Ecluses, un terrain vierge en quête d’identité. Surdimensionnée pour les événements locaux et internationaux, elle est difficilement appropriable par les habitants. La valorisation de ce lieu s’appuie sur les traces laissées par les usagers. Cela implique d’implanter une structure urbaine solide tout en affirmant son caractère sportif et en répondant aux exigences des événements. Des constructions à usages réversibles sont soigneusement intégrées dans cette nouvelle ceinture pour soutenir ces espaces et accueillir les diverses festivités. Pour aborder les notions de public et de privé, deux moments clés sont considérés : la configuration en logements pour athlètes lors du Nendaz Freeride et la configuration en marché lors du Marché Nendard. La réversibilité dont il est question ici concerne des usages temporaires au sein de bâtiments pérennes. Ce projet réexamine l’ajout ou la suppression en proposant une solution qui implique le mouvement ou la rotation d’éléments afin de créer une nouvelle ambiance et une configuration adaptée et appropriable par les usagers.

2023

Réversibilité d’usage. Valorisation de la plaine des Ecluses à Nendaz pour accueillir le sport en permanence, le marché et le logement temporairement

Désacralisations (Meurthe-et-Moselle, F)

Désacralisations (Meurthe-et-Moselle, F)

Réversibilité d’usage. Valorisation de la plaine des Ecluses à Nendaz pour accueillir le sport en permanence, le marché et le logement temporairement