L’Alliance républicaine, écologiste et sociale (ARES), également appelée Confédération des centres ou tout simplement L’Alliance, était une confédération politique française, fondée notamment sur l’impulsion de Jean-Louis Borloo. Elle regroupait plusieurs formations centristes (Parti radical, Nouveau Centre, La Gauche moderne, Convention démocrate), principalement de centre droit. Indépendante de l’UMP, elle se positionnait néanmoins comme partie prenante de la majorité parlementaire de la législature. Elle a été remplacée par l'Union des démocrates et indépendants, parti de centre-droit fondé en . Le , Jean-Louis Borloo annonce, la création d'une « alliance républicaine, écologiste et sociale qui regrouperait « avant l'été » plusieurs formations politiques du centre droit (Parti radical, Nouveau Centre...) et du centre gauche (La Gauche moderne). Cette formation se positionnerait comme une « alternative au PS et à l'UMP ». L'intégration du Parti radical à cette nouvelle formation est soumise aux instances internes du parti lors de son congrès les 14 et , proposant de la nommer « Alliance républicaine, écologique et sociale » ou plus simplement « L'Alliance », en même temps que l'indépendance de la formation prise par rapport à l'UMP, avant de devenir effective. L'Alliance est fondée par le Nouveau Centre, le Parti radical, la Gauche moderne et la Convention démocrate dont les instances respectives se sont réunies en pour donner leur accord à la création d'une confédération les regroupant. Nouveau Centre (adhésion validée le ), Parti radical (adhésion validée le ), Convention démocrate (adhésion validée le ), La Gauche moderne (adhésion validée le ), Centre national des indépendants et paysans (vote de son comité directeur du autorisant l'ouverture de discussions). Alliance centriste (décision rejetée le ). Le se déroula à Épinay-sur-Seine un « grand banquet républicain » de lancement officiel de L'Alliance républicaine, écologiste et sociale. Il réunit .