Les étoiles variables sont nommées suivant une variation des désignations utilisées par Bayer ou Flamsteed (à savoir un identifiant - une lettre ou un nombre - suivi du génitif latin de la constellation à laquelle elle appartient). Avant la deuxième moitié du , peu d'étoiles variables étaient connues et il semblait raisonnable d'utiliser les lettres de l'alphabet latin, à partir de la lettre R pour éviter toute confusion avec les types spectraux. Le développement de la photographie en astronomie et les découvertes de plus en plus nombreuses d'étoiles variables conduisirent à atteindre la fin de l'alphabet. Deux lettres furent ensuite utilisées, puis, lorsque ce système s'épuisa lui aussi, on utilisa simplement la lettre V (comme « variable ») suivi d'un nombre.
À l'heure actuelle, le système de désignation est le suivant :
Les étoiles nommées d'après l'alphabet grec (désignation de Bayer) conservent cette dénomination.
Les 9 premières étoiles (1-9) reçoivent la lettre R, puis S, et ainsi de suite jusqu'à Z.
Les 9 étoiles suivantes (10-18) reçoivent les lettres RR à RZ.
On continue pour les 36 étoiles suivantes (19-54) avec SS jusqu'à SZ (pas de SR), TT jusqu'à TZ et ainsi de suite pour atteindre ZZ. La deuxième lettre est donc toujours aussi tard ou plus tard dans l'alphabet que la première.
On utilise ensuite pour les 280 étoiles suivantes (55-334) AA jusqu'à AZ, BB jusqu'à BZ et ainsi de suite jusqu'à QZ, si ce n'est que l'on omet tous les couples de lettres comprenant la lettre J. Comme précédemment, la deuxième lettre est donc toujours aussi tard ou plus tard dans l'alphabet que la première (donc pas de BA, CA, CB, DA, DB, DC, EA, etc.).
On abandonne l'alphabet latin après les 334 combinaisons précédentes (334 = 25 × 26 / 2 + 9, le 9 venant des désignations R à Z du début et l'autre terme de tous les couples de deux lettres (hormis J) classées par ordre alphabétique. Les étoiles suivantes sont nommées V335, V336, etc. Les notations Vnnn avec nnn entier inférieur à 335 sont également tolérées pour les 334 premières étoiles.
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Explore la variabilité stellaire intrinsèque, en se concentrant sur les expulsions d'étoiles et les phénomènes observés dans les étoiles BE, les étoiles UV et Bételgeuse.
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En astronomie, une étoile variable ou, par ellipse, une variable est une étoile dont l'éclat varie au cours de périodes plus ou moins longues (on parle à ce titre de variabilité stellaire). Alors que la plupart des étoiles sont de luminosité presque constante, comme le Soleil qui ne possède pratiquement pas de variation mesurable (environ 0,1 % sur un cycle de 11 ans), la luminosité de certaines étoiles varie de façon perceptible pendant des périodes de temps beaucoup plus courtes.
L'Union astronomique internationale (UAI) est l'autorité internationalement reconnue sur les désignations stellaires. Plusieurs noms stellaires utilisés aujourd'hui sont hérités d'avant l'existence de l'UAI, mais on en ajoute des nouveaux continuellement. Plusieurs étoiles remarquables ont des noms, dont la plupart sont d'origine arabe, tels Deneb (α Cygni) et Vega (α Lyrae) ; il y en a autres en latin tels Polaris (α Ursae Minoris), et un tout petit peu en français tels l'Épi (α Virginis).
thumb|Gravure tirée de l'Uranometria de Johann Bayer et montrant la constellation d'Orion. Les étoiles sont désignées par une lettre grecque. La désignation de Bayer est, en astronomie, une désignation stellaire. Ces désignations ont été introduites par l'astronome Johann Bayer (1572-1625) dans son Uranometria, le premier atlas céleste couvrant toute la sphère céleste, paru à Augsbourg en 1603. Elles consistent le plus souvent en une lettre grecque suivie par le génitif du nom de la constellation où l'étoile se trouve.
Context. Gaia has been in operations since 2014, and two full data releases (DR) have been delivered so far: DR1 in 2016 and DR2 in 2018. The third Gaia data release expands from the early data release (EDR3) in 2020, which contained the five-parameter ast ...
In this paper, we study high-resolution spectra of 19 stars that have metallicity estimates below -3.5 using at least two metallicity-sensitive photometric indices based on Pristine photometry. The purpose is to understand what kind of stars populate this ...
The globular cluster Messier 80 was monitored by the Kepler space telescope for 80 days during the K2 mission. Continuous, high-precision photometry of such an old, compact cluster allows us for studies of its variable star population in unprecedented deta ...