right|thumb|500px|Image satellite de l'agglomération de Tokyo. L'agglomération de Tokyo ou Grand Tokyo, autour de la baie de Tokyo, est la mégapole la plus peuplée du monde avec en 2007, répartis sur un espace bâti continu (le second au monde après celui du Grand New York) de , soit approximativement , et plus du quart de la population totale du Japon (27,9 %) résidant sur un peu plus de 2 % du territoire national. En partant du palais impérial, il faut parcourir dans certaines directions près de pour en sortir. C'est aussi celle dont le PIB total est le plus élevé, devant celle de New York. Elle comprend huit villes de plus de (dont quatre des dix-huit municipalités japonaises ayant le statut de villes désignées), parmi lesquelles Tokyo (les 23 arrondissements spéciaux) et Yokohama, les deux villes les plus peuplées du Japon. Il constitue l'hypercentre et la limite nord-orientale de la mégalopole japonaise, généralement désignée sous le nom de Taiheiyō Belt, qui s'étend sur environ sur toute la côte sud de Honshū jusqu'à l'agglomération de Fukuoka-Kitakyūshū au nord de Kyūshū. L'agglomération de Tokyo n'a pas d'existence administrative ou politique, même si les autorités japonaises utilisent plusieurs définitions pour désigner l'agglomération de Tokyo et ont mené une série d'actions pour essayer d'encadrer son expansion. thumb|right|Une métropole et sept préfectures : la Région capitale La de 1956 crée une définie comme une vaste zone placée sous l'influence de la capitale dans un rayon de autour de l'hôtel de la Métropole de Tokyo, soit les sept préfectures du Kantō (Tokyo, Kanagawa, Saitama, Gunma, Tochigi, Ibaraki et Chiba), plus celle de Yamanashi. Dotée d'un « plan de développement » décennal (dont le premier est adopté en 1958) visant à empêcher la concentration des fonctions politiques, administratives et économiques dans les arrondissements de Tokyo (notamment par des projets de délocalisation) et de contrôler l'expansion urbaine, il est géré par un comité d'étude supervisé par le ministère du Territoire et des Transports qui émet chaque année un livre blanc sur la question.