thumb|upright=1.0|Premier engin explosif à balles de plomb inventé par le lieutenant Henry Shrapnel (A) et sa première version améliorée par le capitaine E M Boxer (B).
thumb|upright=1.0|Animation présentant le fonctionnement d'un "obus à diaphragme", développé en 1871, par l'artilleur russe V. N. Shklarevich, avec une chambre inférieure et un tube central, pour les canons rayés nouvellement apparus. Dans ce cas, l'obus se déplace à grande vitesse et son explosion ne fait que libérer les balles qu'il contient avant de toucher le sol.
Shrapnel, du nom de son inventeur Henry Shrapnel, est le nom désignant l'. Le terme a souvent été utilisé, de manière extensive, pour désigner des petits fragments projetés par une explosion, quelle que soit leur origine.
Shrapnel désigne la menue monnaie et est l'équivalent de mitraille dans ce sens.
On rencontre parfois le mot schrapnell qui est l'adaptation à la prononciation allemande et n'a pas lieu d'être employé en français. est totalement fautif et désigné comme tel par les dictionnaires qui le citent. En français, ce projectile fut d'abord connu sous le nom d' abrégé plus tard dans la langue courante en shrapnel. Adopté par l'armée française, il reçut l'appellation réglementaire d'. Le terme parfois utilisé d' est un barbarisme. En effet, cet obus ne contient pas des shrapnels. Il est un shrapnel.
vignette|upright=1.0|left|Types d'obus shrapnel et assemblages douille-obus existant en 1915. Ici, les grosses billes de plomb sont noyées dans un explosif interne à l'obus, et projetées avec force, avec un nombre plus ou moins importants de fragments de l'obus ; l'énergie cinétique donnée aux billes de plomb par l'explosion interne s'ajoute à celle de l'obus lui-même, acquise dans le fût du canon par l'explosion du contenu de la douille.
En 1784, le lieutenant Henry Shrapnel (1761-1842) du Corps royal d'artillerie britannique (Royal Artillery) entreprit la mise au point d'une arme anti-personnel. À cette époque, l'artillerie employait des boîtes à mitraille pour se défendre contre les attaques de l'infanterie ou de la cavalerie.
Cette page est générée automatiquement et peut contenir des informations qui ne sont pas correctes, complètes, à jour ou pertinentes par rapport à votre recherche. Il en va de même pour toutes les autres pages de ce site. Veillez à vérifier les informations auprès des sources officielles de l'EPFL.
thumb|250px|Deux cadavres de soldats allemands gisant dans une tranchée, peints par William Orpen en 1917. La guerre de tranchées est une forme de guerre où les combattants s'abritent dans des lignes fortifiées, largement constituées de tranchées, dans lesquelles les soldats sont relativement protégés des armes légères et de l'artillerie. C'est devenu une expression familière pour désigner la guerre de positions, une paralysie du conflit et l'épuisement progressif des forces opposées.
Infobox Conflit militaire | image = WWImontage.jpg | taille image = 280 | légende = Dans le sens des aiguilles d'une montre : des tranchées abandonnées, des chars Mark V de l'armée britannique, le navire coulant au large du détroit des Dardanelles, des soldats avec des masques à gaz utilisant une mitrailleuse, des avions des Luftstreitkräfte à Douai. | conflit = Première Guerre mondiale | date = Du au () | lieu = Europe, Afrique, Moyen-Orient, Chine, Océanie, océan Pacifique, océan Atlantique.
La bataille de la Somme en 1916, lors de la Première Guerre mondiale, a opposé les Alliés britanniques et français aux Allemands, à proximité de la Somme, essentiellement dans le département de même nom. Il s'agit de l'une des tragédies les plus sanglantes du conflit. Conçue en , par Joffre, commandant en chef des armées françaises, l'offensive de la Somme dut être amendée du fait du déclenchement de la bataille de Verdun, le . Foch fut chargé par Joffre de sa mise en œuvre.
There is a growing interest for turning biomechanics notably because it is a more challenging task than straight-line walking during which some gait impairments are increased. Detecting heel-strike (HS) and toe-off (TO) events using the trajectory of marke ...