L'étude statistique de l'astrologie cherche à déterminer si une corrélation peut être observée entre les phénomènes étudiés traditionnellement par l'astrologie (planètes, Lune/satellite, signes, domification, aspects, transits...) et des évènements objectifs dans la psychologie ou la destinée humaine.
Ces recherches, qui tentent d'établir à travers la méthode expérimentale la validité de l'astrologie, ont parfois été jusqu'à revendiquer un statut d'astrologie scientifique mais elles sont généralement perçues comme une démarche pseudo-scientifique.
Paul Choisnard, polytechnicien français, officier de l’armée formé aux statistiques, effectue les premières études statistiques sur l’astrologie au début du et présente des conclusions qui seraient favorables à la doctrine astrologique au travers d’une enquête sur près de ayant obtenu une réputation et chez lesquels il noterait une fréquence anormalement élevée de la présence de Jupiter à la position appelée Milieu du Ciel. Il pose ainsi les bases de l'étude statistique de l'astrologie, mais ne prend pas en compte les biais astronomiques, démographiques et sociologiques dans ses calculs et tire souvent de fausses conclusions. Selon Michel Gauquelin, Paul Choisnard n'a pas pris en compte le fait qu'un écart statistique apparemment significatif observé peut être tout simplement dû à la .
Le « fait » de Paul Choisnard est ténu, sa méthode incomplète et ses résultats contestables, mais ces travaux ouvrent la voie à une étude de l'astrologie par les statistiques, assimilée à une "astrologie scientifique" qui se distingue des pratiques divinatoires et prédictives. En effet, selon les tenants de "l'astrologie scientifique", l'astrologie doit bénéficier du processus constant de rectification des concepts et des théories que s'impose l'esprit scientifique alors qu'au contraire, selon les partisans de l'astrologie traditionaliste, laquelle est par essence divinatoire. La démarche de Paul Choisnard est poursuivie en France par Léon Lasson dans les années 1920 et 1930 et s’étend en Allemagne.
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Horoscopic astrology is a form of astrology that uses a horoscope, a visual representation of the heavens, for a specific moment in time to interpret the purported meaning behind the alignment of the planets at that moment. The idea is that the placement of the planets at any given moment in time supposedly reflects the nature of that moment and especially anything that is born then, and proponents claim that this can be analyzed using the chart and a variety of rules for interpreting the "language" or symbols therein.
Un thème astrologique, du grec ancien τίθημι, títhêmi, « poser », est une interprétation faussement scientifique de la position des astres (planètes, Lune et Soleil) à un moment donnée sur l'écliptique. Il donne lieu à une représentation schématisée, une carte du ciel avec les symboles astronomiques traditionnels des astres, des constellations du zodiaque, et des aspects remarquables, notamment conjonction, opposition et quadrature.
L’astrologie indienne (encore appelée astrologie védique, astrologie hindoue ou Jyotish (du sanskrit ज्योतिस् Jyotis, lumière ou étoile) est un système astrologique issu des Vedas. Bien que la structure générale de ce système soit similaire à celui que l'on trouve en Occident, cette astrologie étant fondée sur l'Ayanamsha (décalage dû à la précession des équinoxes), tous les signes du zodiaque, par exemple, sont donc décalés. Elle fait partie des Védangas : les six arts et sciences auxiliaires de l'hindouisme, liés aux Védas.
When the Dark Matter mass is below the eV-scale, its cosmological occupation number exceeds the ones of photons from the cosmic microwave background as well as of relic neutrinos. If such Dark Matter decays to pairs of neutrinos, it implies that experiment ...