Willibald Sauerländer, né le à Bad Waldsee (État libre populaire de Wurtemberg) et mort le à Munich , est un historien de l'art allemand. Premièrement, Willibald Sauerländer fut en France comme prisonnier de guerre. Il fit ses études à Munich où il obtint une thèse sous la direction de Hans Jantzen en 1953. Pendant son deuxième séjour en France, de 1954 à 1959, il travaillait comme guide à Paris et assistant d’allemand au Lycée Charlemagne à Paris. Sauerländer fut spécialisé dans la sculpture médiévale française. De 1970 à 1989, il a été directeur du prestigieux Zentralinstitut für Kunstgeschichte de Munich. Sauerländer s'occupait aussi du genre de la critique de l'art, il écrivait pour le Süddeutsche Zeitung (Journal de l'Allemagne du Sud). Les modèles de la Renaissance macédonnienne dans la sculpture de Paris et d’Amiens au début du , in Actes du international d'histoire de l’art, Paris, 1959, pp. 125–133. Cathédrales, Art de France, vol. 3, 1963, pp. 210–219. Tombeaux chartrains du premier quart du , L'Information d'histoire de l'art, vol. 9, 1964, pp. 47–60. La cathédrale et la révolution, Conférences plénières, 1990, pp. 67–106. Strasbourg, cathédrale: Le bras sud du transept, architecture et sculpture, in Session du Congrès Archéologique de France, Société Française d’Archéologie, Paris, vol. 162, 2004, pp. 171–184. Essai sur les visages des bustes de Houdon, Paris, 2005. Architecture gothique et mise en scène des reliques : l'exemple de la Sainte-Chapelle, in Christine Hediger, éd., La Sainte-Chapelle de Paris, Turnhout, 2007, pp. 113–136 Paysage de Poussin: Les limites de l’interprétation iconologique, Studiolo, vol. 6, 2008, pp. 191–232. Reims, la reine des cathédrales. Cité céleste et lieu de mémoire, Paris, 2018 « Entre le roman et le gothique : style de transition, Alternativgotik et « style 1200 » », Perspective, 4 | 2008, 756-761 [mis en ligne le 11 avril 2018, consulté le 07 février 2022. URL : ; DOI : ]. Avec Pierre-Yves Le Pogam, Michael F.
Bob de Graffenried, Gauthier Paul Daniel Marie Rousseau