Branchie | EPFL Graph Search

vignette|Branchies de mérou. vignette|Branchies de thon (isolées de la carcasse). vignette|Branchies externes de la larve du triton alpestre. Les branchies sont des organes respiratoires internes ou externes permettant à de nombreux animaux aquatiques, notamment les poissons, de respirer en extrayant l'oxygène de l'eau. Le mot « branchie », du genre féminin, est dérivé du grec ancien βράγχια, par l'intermédiaire du latin branchie utilisé par Columelle. vignette|gauche|Détail au microscope de branchies. Les branchies sont des évaginations tissulaires vascularisés qui forment une surface d'échange respiratoire. Elles constituent la principale surface d'échanges gazeux spécialisée chez les animaux aquatiques. Les branchies des Invertébrés (mollusques, annélides, certaines larves d'insectes) sont issues de repliements de l'ectoderme tandis que les branchies des Cordés (dont les Vertébrés) sont constituées principalement d'endoderme et ne sont donc pas des structures homologues. Certains Vertébrés ont cependant des branchies externes issues exclusivement de l'ectoderme (c'est le cas de la première génération de branchies chez les têtards d'Amphibiens) et chez certaines espèces de salamandres adultes, dont l'axolotl, la siren ou le necture. Les branchies sont formées par des arcs branchiaux (homologues des arcs pharyngés chez l'homme) sur lesquels s'insèrent des lames branchiales (rangées de filaments). Outre leur rôle fondamental dans la respiration, les branchies servent à piéger de la nourriture notamment chez les animaux microphages filtreurs (moule, ascidie...) et à réguler la concentration ionique du milieu intérieur (chez les poissons). On trouve quatre branchies sous chaque opercule chez un poisson. Une branchie se compose d'un os (arc branchial) sur lequel s'insèrent deux lames branchiales constituées de fins filaments (environ 200 par lames, donc 400 par branchie). Chaque filament est très richement irrigué et le sang n'est séparé de l'eau que par quelques micromètres, voire moins d'un micromètre.

Intestinal Fish Cell Barrier Model to Assess Transfer of Organic Chemicals in Vitro: An Experimental and Computational Study

Kristin Schirmer, Hannah Inka Schug, Anze Zupanic, Jenny Maner

We studied the role of the fish intestine as a barrier for organic chemicals using the epithelial barrier model built on the rainbow trout (Oncorhynchus mykiss) intestinal cell line, RTgutGC and the newly developed exposure chamber, TransFEr, specifically ...

AMER CHEMICAL SOC2019

Silver nanoparticles inhibit fish gill cell proliferation in protein-free culture medium

Kristin Schirmer, Laura Sigg, Renata Behra, Yang Yue

While short-term exposures of vertebrate cells, such as from fish, can be performed in defined, serum-free media, long-term cultures generally require addition of growth factors and proteins, normally supplied with a serum supplement. However, proteins are ...

Taylor & Francis Ltd2016

Silver nanoparticle-protein interactions in intact rainbow trout gill cells

Kristin Schirmer, Laura Sigg, Renata Behra, Yang Yue

Upon contact with biota, nanoparticles can bind to proteins, which coat the nanoparticles and form a nanoparticle-protein corona. Knowledge of corona proteins is therefore important for a mechanistic understanding of how nanoparticles interact with biomole ...

Royal Soc Chemistry2016