Système de reconnaissance facialeUn système de reconnaissance faciale est une application logicielle visant à reconnaître automatiquement une personne grâce à son visage. Il s'agit d'un sujet particulièrement étudié en vision par ordinateur, avec de très nombreuses publications et brevets, et des conférences spécialisées. La reconnaissance de visage a de nombreuses applications en vidéosurveillance, biométrie, robotique, indexation d'images et de vidéos, , etc. Ces systèmes sont généralement utilisés à des fins de sécurité pour déverrouiller ordinateur/mobile/console, mais aussi en domotique.
Ingénierie sociale (sécurité de l'information)vignette|upright=2.5|Alerte OPSEC d'un site web concernant le social engineering. L'ingénierie sociale (social engineering en anglais) est, dans le contexte de la sécurité de l'information, une pratique de manipulation psychologique à des fins d'escroquerie. Les termes plus appropriés à utiliser sont le piratage psychologique ou la fraude psychologique. Dans le contexte de la sécurité de l'information, la désignation ingénierie sociale est déconseillée par l'Office québécois de la langue française, 2021 puisqu'elle n'accentue pas le concept de tromperie.
Contrôle d'accès à base de rôlesLe contrôle d'accès basé sur les rôles (« Role-Based Access Control » (RBAC) en anglais) est un modèle de contrôle d'accès à un système d'information dans lequel chaque décision d'accès est basée sur le rôle auquel l'utilisateur est associé. La typologie et la granularité des rôles découlent généralement de la structure de l'entreprise ou de l'organisation ayant adopté ce système. Les utilisateurs exerçant des fonctions similaires peuvent être regroupés sous le même rôle.
Contrôle d'accès basé sur l'organisationOrganization-Based Access Control (OrBAC) ou, en français, le contrôle d'accès fondé sur l'organisation est un modèle de contrôle d'accès présenté pour la première fois en 2003. Dans OrBAC, l'expression d'une politique d'autorisation est centrée sur le concept d'organisation. Le modèle OrBAC (Organization Based Access Control) reprend les concepts de rôle, d'activité, de vue et d'organisation. Ces concepts ont été introduits respectivement dans les modèles R-BAC Role-Based Access Control, T-BAC (Task-Based Access Control), V-BAC (View-Based Access Control) et T-BAC (Team-Based Access Control).
Security guardA security guard (also known as a security inspector, security officer, factory guard, or protective agent) is a person employed by a government or private party to protect the employing party's assets (property, people, equipment, money, etc.) from a variety of hazards (such as crime, waste, damages, unsafe worker behavior, etc.) by enforcing preventative measures.
Principe de moindre privilègeEn informatique, le principe de moindre privilège est un principe qui stipule, selon l'ANSSI, qu'une tâche ne doit bénéficier que de privilèges strictement nécessaires à l'exécution du code menant à bien ses fonctionnalités. En d'autres termes, une tâche ne devrait avoir la possibilité de mener à bien que les actions dont l'utilité fonctionnelle est avérée. Ce principe suppose alors que chaque fonctionnalité ne doit posséder que les privilèges et ressources nécessaires à son exécution, et rien de plus.
Contrôle d'accès fondé sur les treillisDans le domaine de la sécurité numérique, le contrôle d'accès fondé sur les treillis (en anglais lattice-based access control, ou LBAC) est un modèle complexe de contrôle d'accès logique aux ressources qui sont placées sous son contrôle qui s'appuie sur la représentation des interactions entre toutes les combinaisons d'objets (ressources numériques, applications et ordinateurs) et les acteurs (personnes, groupes ou organizations). L'objectif du contrôle d'accès fondé sur les treillis est de permettre la mise en place de polices de sécurité du type Contrôle d'accès obligatoire.
SerrureUne serrure est un mécanisme de fermeture (d’une porte, d’un véhicule) qui ne peut être ouvert que par une clef ou une combinaison correspondante. thumb|Coffre médiéval équipé d'une serrure à moraillon. L’invention de la serrure a suivi logiquement celle du verrou apparue lors de la sédentarisation au Néolithique. Les premières portes ont été sécurisées par l’invention du verrou, simple tige de bois (le pêne) poussée dans une ouverture dans le montant fixe (la gâche). Les Égyptiens inventèrent le verrou à loquet tombant apparu il y a .